Comment choisir le bon Icebreaker de bien démarrer ma formation ? 

Comment on fait pour bien choisir l’Icebreaker pour propulser la formation et lui donner du rythme. reste bien jusqu’au bout car je te partage mon IceBreaker Passe Partout !

Bien démarrer ta formation est important, et faire que le groupe se sente bien, c’est important ! 

Comme t’a expliqué Nico, le démarrage est crucial pour le bon fonctionnement du groupe d’apprentissage. On peut vite tomber sur le piège du mauvais Icebreaker et de se retrouver avec un groupe moins réceptif. 

Le 1er critère à prendre en compte est la connaissance que les uns ont des autres. 

On a 2 cas de figure : 

1er cas de figure : les apprenants se découvrent pour la première fois même s’ils viennent de la même entreprise. 

2ème cas de figure : Les apprenants sont de la même entreprise et se connaissent, et peuvent travailler ensemble depuis plusieurs années!

Dans ces 2 cas de figure, on n’aborde pas le démarrage de la formation de la même manière et surtout, on utilise pas le même Icebreaker ! 

Souvent on ne sait pas dans quel cas de figure on va se trouver. Il est nécessaire alors d’avoir 2 ou 3 icebreakers qui permettent de couvrir ces 2 ou trois cas de figure.

Pour le 1er cas, on va éviter tous les IceBreakers qui exposent la vie privée ou les valeurs des personnes aux autres. 

 

2ème critère: la prise en compte  des traits de personnalités des personnes qui constituent votre groupe. 

Une personne introvertie a plus de mal à exposer ses idées ou à déballer sa vie privée en public, à des inconnues, et cela va pour un groupe ou elle ne connait personne.

Il faut avoir des Icebreakers ou les introverties puissent s’exprimer sans se dévoiler. Un atelier comme bienvenue dans mon monde où les personnes naviguent d’une personne à une autre en regardant ce qui est marqué sur leur badge et pour lesquels, elles doivent récolter des informations, des indices ou des précisions pour les partager à d’autres personnes est un bon moyen d’entrer en matière.

Le 3ème critère est justement la connexion faite avec le contenu de la formation lors de l’icebreaker.

On voit trop souvent de superbe IceBreaker ou les participants sont en plein énergie et qui par la suite ne comprennent pas pourquoi avoir fait cette action par rapport à la formation.

L’icebreaker doit être également un moment de connexion avec le contenu de la formation.

Je reprend l’exemple précédent, “Bienvenu dans mon monde”, les indices ou les informations à rechercher doivent être en lien avec le thème de la formation et ce qui y sera vu. 

Tu peux en profiter pour coupler cela avec l’évaluation des connaissances et compétences d’entrée en demandant au participant de déterminer qui est plus avancé qu’eux sur le sujet dans la pièce par exemple.

Je viens de te partager les 3 critères pour bien choisir son Icebreaker pour ton début de formation et comme promis en début de cet article, je te partage un Icebreaker Passe Partout !

un Icebreaker Passe Partout

Celui que tu peux utiliser les yeux fermés et tu sais que tu ne vas pas te tromper !

Le but de Mon Icebreaker est de faire réaliser une ligne avec et par les participants : 

De celui qui est le plus proche au plus éloigné, en distance, en temps de trajets.

Puis on passe à une connexion vers la connaissance du sujet : du plus expérimenté dans le domaine qu’on va voir dans la formation au moins expérimenté. 

On peut alors demander à constituer des groupes hétérogènes ou il faut de expérimentés, des intermédiaires et des inexpérimentés. Ce groupe se soutiendra tout au long de la formation ! 

Et la cerise sur le gâteau, les plus expérimentés vont aider et partager leurs expériences au moins expérimentés. Et les moins expérimentés vont les challenger en retour sur ce qu’ils connaissent déjà !

On arrive au bout de cet article où je t’ai partagé notre expérience sur comment choisir le bon Icebreaker pour bien démarrer ta formation.

En prime, je t’ai donné notre IceBreaker préféré !

Les 7 erreurs à ne pas commettre en animation d’un groupe en formation que même les formateurs les plus expérimentés font !

Les 7 erreurs à ne pas commettre en animation d’un groupe en formation que même les formateurs les plus expérimentés font !

 

Ces 7 erreurs nuisent considérablement au bon fonctionnement du groupe et donc à l’apprentissage des apprenants.

Pour t’expliquer ces 7 erreurs, je m’appuie sur le modèle de tuckman sur le développement d’un groupe, un groupe d’apprenants par exemple.

Ce modèle est en 5 phases : 

La 1ère phase ‘forming’ – Une phase critique – c’est la phase où les apprenants et le formateur se rencontrent et se découvrent. 

On entend souvent qu’il est important de casser la glace et de faire un Ice Breaker …

Oui il faut casser la glace, mais il faut être mesuré dans le choix qu’on fait. 

La 1ère erreur

L’ice breaker ne doit pas dévoiler des choses personnelles des participants alors qu’ils ne se connaissent pas encore ! des Ice breakers qui portent sur les valeurs des personnes , je pense à  – donc ce type d’icebreakers sont à proscrire, vaut mieux des icebreakers plus simples. 

Une fois que les personnes se sont apprivoisées alors le groupe passe dans une 2ème phase, celle du Storming. 

Cette phase est sans doute la plus critique et la plus difficile à gérer comme animateur et formateur. Cette une phase de confrontation et d’expression de ses positions sur des sujets. Chacun ne cherche plus à être polie mais bien à exprimer ce qu’il pense. 

Il peut y avoir des positions tranchées sur des sujets qui catalysent des débats et des passions. 

La 2ème erreur

avec le groupe, c’est de ne pas prendre en compte les différentes positions, et soi d’être vue comme prenant partie pour l’une ou l’autre des positions, et d’aller jusqu’à défendre la position d’un des participants, bec et ongle ! L’erreur amène souvent le groupe à redescendre au niveau forming et de ne plus exprimer ses positions et de rester neutre ! Ça a un effet négatif sur l’apprentissage du groupe et des personnes.

Lorsque le groupe a trouvé son équilibre sur la façon d’exprimer ses opinions et de réussir à avoir de débat qui ne se transforme plus en guerre des tranchées. Le groupe passe dans la phase de “Norming”. 

Le groupe normalise son fonctionnement et les relations au sein du groupe.

La 3ème erreur

qui est commise dans cette phase est de laisser des règles de fonctionnement implicitement se développer.  La digression des règles de fonctionnement implicites amènent le conflit. La gestion du conflit positionne à nouveau le groupe dans la phase 2, le Storming. 

Le groupe doit trouver son mécanisme de gestion des conflits. 

La 4ème erreur

est de ne pas aider le groupe à trouver le mécanisme de gestion du conflit sans que l’animateur ou le formateur n’ai à intervenir ! 

 

La phase suivante, Performing, la phase de performance, est une phase qui n’est pas toujours atteinte par les groupes. 

Car, elle nécessite que le groupe à des mécanismes de prise de décision communs, compris et utilisés par tous. Et que pour chaque soumission, n’importe quel membre du groupe pourrait prendre à la place du groupe et serait vu comme “on aurait pris la même décision !”

La 5ème erreur

est de laisser le groupe s’endormir en pensant qu’il est devenu “invulnérable” que rien ne peut lui résister. Il ne remet plus en question la façon dont il réalise les choses. Et les membres du groupe ne se posent plus de questions… 

Malheureusement, tout à une fin, même pour les supers groupes et les supers formations. Le groupe rentre alors dans sa phase ultime : “Adjourning” 

C’est la fin de formation, et c’est l’heure de se quitter ! 

La 6ème erreur

est de ne rien faire pour accompagner cette fin de formation et de laisser passer ce temps spécifique pour permettre au groupe de se faire à l’idée de ne plus se voir dans ce contexte spécifique de la formation. 

Le modèle n’est qu’un modèle qui permet de mieux comprendre comment cela fonctionne et comment on peut mieux réagir. 

La 7ème erreur

porte justement sur cette compréhension du fonctionnement du groupe et de penser que le groupe est uniquement dans l’une de ces phases. Il n’est par rare de voir un groupe dans les 4 premières phases en même temps, mais sur des sujets différents ! Le modèle est linéaire pour expliquer celui-ci, mais la réalité est tout autre !

Maintenant que tu connais les 7 erreurs, quelle est l’erreur que tu rencontres le plus souvent sur le terrain ?

Article pour test

Cet article n’est présent que pour des tests avec les overlays

Formateur indépendant, tu as du temps pour trouver tes clients

Dans un monde où tout va toujours plus vite, gérer son temps n’est pas chose aisée. Lorsqu’on voudrait donner davantage d’importance à certaines activités, d’autres nous monopolisent plus que prévu. Alors, comment gérer son emploi du temps en tant que formateur indépendant ?

Comment savoir que l’on a une mauvaise gestion de son temps ?

Ça se sent, ça se sent, ça se sent que ça ne va pas ! Une chronologie mal planifiée se ressent à travers une multitude de détails qui se superposent au quotidien, jusqu’à arriver à un point de craquage. En voulant trop bien faire, répondre à toutes les sollicitations ( mails, notifications, collaborateurs, famille, etc ) et accorder du temps aux autres, on se retrouve soi-même surmené.

Voici quelques indices qui mettent la puce à l’oreille quant à une mauvaise gestion du temps :

  • Vous vous sentez débordé,
  • Vous ne savez pas comment répondre à toutes vos sollicitations en direct,
  • Vous ne savez pas par quoi commencer,
  • Vous remettez à plus tard les travaux,
  • Vous faites l’impasse sur les tâches rébarbatives et favorisez donc les activités plaisir non prioritaires,
  • Vous sentez le stress lié aux échéances augmenter,
  • Vous sous-évaluez le temps nécessaire à une tâche ( c’est humain ),
  • Vous avez l’impression de perdre le contrôle

Tout cela découle du temps. Si parfois il manque, d’autres fois il est simplement mal réparti dans votre planning. Les effets d’une mauvaise gestion du temps se font ressentir directement sur le travail mais également sur la santé. Fatigue, perte de productivité, problème de perception de l’urgence des choses à faire et des deadlines, augmentation du stress… Bref, autant de choses dont on se passe bien volontiers !

Nos conseils pour organiser son temps efficacement

Pour avancer réellement dans vos objectifs tout en consacrant le temps nécessaire à votre entourage, il est possible d’apprendre à gérer son temps. Grâce à notre expérience, nous avons recensé quelques axes d’amélioration à appliquer sur son organisation :

  1. Planifier

Utiliser un agenda pour orchestrer sa journée est une technique bien connue, car efficace ! Avec un agenda électronique, on accède à de nombreuses fonctions et on bénéficie d’une vue d’ensemble, plus globale, sur les tâches. On se représente donc mieux sa journée, sa semaine, son mois, son trimestre, son année, sans être pris au dépourvu d’une deadline oubliée.

De la même manière, visualiser ses objectifs et faire un rétroplanning permet d’appréhender le travail à l’avance. On se demandera alors “que faut-il faire pour arriver à l’échéance le plus confortablement possible ?”.

Pour rester sur une lancée positive dans sa planification, on évite d’aller à contre-courant. Chercher à caser une heure de travail dans une plage libre peut être contre-productif, car cette tâche imposée par soi-même mène souvent à des révisions supplémentaires par la suite.

  1. Bloquer des plages fixes

La chronobiologie est une très bonne méthode pour planifier sa journée. En effet, nous avons tous des vagues d’énergie créative qui se déroulent sur deux grandes plages : une le matin en début de matinée, et une en fin d’après-midi jusqu’à 21 heures pour les couche-tard. La période d’accalmie se situe entre 10 heures et 16 heures, c’est là qu’on fera du sport ou bien une activité qui demande peu de création.

Cela travaille aussi la gestion de l’imprévu et son positionnement dans le planning.

Par exemple, Céline travaillait, il y a plusieurs années, dans un service de gestion/location en immobilier, en open space. Le matin, la première activité consistait à répondre aux mails des clients. Sauf que les autres clients arrivaient en même temps, ce qui repoussait les mails à plus tard voire au lendemain. Pour pallier à ce problème, un roulement a été mis en place. Ainsi, une personne, différente chaque jour, gérait l’accueil de la clientèle pendant que les autres répondaient aux mails.

  1. Se concentrer sur sa tâche

Couper les notifications et les divertissements permet d’éviter les perturbations lors d’une plage de concentration importante.

Même chose pour les sollicitations physiques : inventez votre propre système pour indiquer aux autres que vous êtes physiquement là mais pas disponible. Montrez concrètement votre statut “Ne pas déranger”, en mettant par exemple une peluche sur le bureau ; super astuce surtout en télétravail.

Quant à la matrice d’Eisenhower ( classer ses priorités en tâches urgentes, importantes… ), c’est quitte ou double. Le risque, comme on classifie nous-mêmes les tâches, est de favoriser les activités plaisantes au détriment des tâches réellement importantes. Intéressante, donc, d’un point-de-vue théorique mais moins dans les faits.

Finalement, il y a encore une multitude d’autres conseils pour gagner en productivité, comme de structurer ses fichiers et son répertoire ou se servir d’outils comme les moteurs de recherche.

Comment récupérer des adresses mails

Les réseaux sociaux sont devenus un moyen simple et efficace pour créer une communauté autour de soi. Tous les entrepreneurs ou les producteurs qui voudraient vendre leur produits choisissent ces moyens pour se faire connaître et faire connaître leur produits y compris les formateurs qui souhaiteraient avoir plusieurs abonnés pour pouvoir leur communiquer leur savoir-faire et les transformer en clients en  s’inscrivant  à leur formation.

 

Toutefois tout ceci reste virtuel et sans assurance. Certes on peut constamment faire de la publicité et partager notre ouvrage mais rien ne nous garantit que nos abonnés s’attardent sur notre publication et prennent le temps de lire notre offre alors qu’elle pourrait très bien les intéresser. Ajoutant à cela le compte que vous avez créé sur facebook, Linkedin, instagram ou n’importe quel autre réseau social pourrait disparaître d’un moment à l’autre pour n’importe quelle raison et perdre vos clients potentiels.

 

 Alors le moyen le plus efficace pour avoir un lien solide et durable avec les membres de cette communauté est de les cibler directement et individuellement en possédant leurs adresses mails. Mais vous allez vous dire, pourquoi et surtout comment peut-on faire pour avoir les mails des gens qu’on ne connais pas? Lisez ce qui suit, vous allez tout comprendre.

Pourquoi est-il important de récupérer des adresses mails

Quand le premier objectif est atteint, celui de rassembler le plus grand nombre d’abonnés possible à votre page ou à votre plateforme, reste à devoir les préserver et les transformer en clients potentiels.Tout ce qui n’est pas concret peut s’envoler sans avoir la possibilité de le récupérer tel un compte sur un réseau social, que ce soit le vôtre ou celui de votre abonné.

 A cet effet, il est primordial de chercher un lien qui vous reliera durablement à vos abonnés. Le moyen le plus répandu pour atteindre cet autre objectif est de créer un fichier clients qui rassemblera les fiches de vos prospects et qui nécessitera évidemment leurs données personnelles telle l’adresse mail.

Établir un fichier client

On ne peut pas établir un fichier client sans avoir réalisé des fiches clients personnalisées. Ces fiches vous permettent d’avoir une idée sur les goûts ou les besoins de votre client potentiel pour le cibler directement. Cela vous aidera énormément dans vos décisions commerciales étant donné que vous avez récolté suffisamment d’informations sur vos prospects.

 Pour bien faire passer le message et convaincre une personne, il est impératif de s’adresser à elle personnellement pour qu’elle se sente  considérée et privilégiée. Maintenant vous allez vous dire, mais comment peut-on récupérer les mails de toutes ces personnes sans être désagréable ou indiscret! On vous le dit!

Comment récupérer des adresses mails

Maintenant tous les producteurs et les commerciaux sont conscients de l’importance d’avoir des adresses mails en leur possession. Alors ils utilisent des moyens astucieux pour les récupérer sans avoir à les demander directement. Parmi ces moyens traditionnels, on peut citer l’abonnement à une newsletter, mais cela n’est pas sans inconvénient et ne nous garantit pas la fidélité du client. Certains ne prennent même pas la peine de les ouvrir, d’autres se servent facilement du lien de désabonnement qui les accompagne. Donc il faut trouver d’autres astuces pour instaurer une certaine confiance ou fidélité entre vous et votre client potentiel. En voici quelques unes:

Proposer des produits gratuits

Dans toutes les cultures, les gens sont conscients de l’importance d’un cadeau et l’effet qu’il fait pour gagner l’estime de l’autre et créer un lien constant entre les personnes. Chose qui peut très bien s’appliquer sur le vendeur et son client. Surtout lorsqu’il s’agit d’un client potentiel qu’on cherche à avoir et à garder. L’idée du cadeau dans le cas du commerce via les réseaux sociaux est de proposer par exemple des ebooks gratuits mais riches et pertinents pour épargner la déception du client. De même, on peut proposer une vidéo ou une mini-formation gratuite.

organiser des évènements

Le webinaire: 

Organiser des rencontres directes avec vos clients vous permet d’exposer vos produits ou vos formations en étant sûr qu’il y a une audience qui vous suit et avec laquelle vous pouvez interagir. Vous aurez l’occasion alors de connaître vos prospects et d’œuvrer pour les satisfaire.

une formation gratuite:

En s’inscrivant à votre formation gratuite, vous obtiendrez les adresses mails de vos clients. Cette formation peut avoir l’aspect de la formation e.learning qui consiste à envoyer deux à trois  mails par jour à vos prospects avec des contenus écrits, une vidéo, un exercice à résoudre ou un petit livret à télécharger.

Une auto-évaluation:

En proposant une sorte de jeux-concours à vos abonnés, vous récupérez des adresses mails bien sûr et vous leur permettrez de s’autoévaluer. Si votre client réussit à son concours vous le féliciterez sinon vous aurez l’occasion de le conseiller et pourquoi pas lui proposer votre formation.

 

D’autres moyens tout aussi efficaces existent pour obtenir les adresses mails de vos clients potentiels tel un pré-lancement d’une formation pour les inciter à cliquer sur un lien pour en savoir plus. Mais une chose est sûre, pour arriver à vos fins, il faut que ce que vous offrez à vos clients, même gratuitement, ait de la valeur.