Comment choisir les outils et technologies pour créer du contenu de qualité d’une formation

Lorsque l’on crée une formation en tant qu’expert métier, il est important de choisir les bons outils et technologies pour créer du contenu de qualité. En effet, le contenu de la formation est la pierre angulaire de sa réussite. Il doit être clair, concis et facilement compréhensible par les apprenants.

Il existe aujourd’hui de nombreuses options pour créer du contenu de formation en ligne. Les outils les plus couramment utilisés sont les plates-formes de formation en ligne telles que Moodle, Teachable, ou encore Udemy. Ces plates-formes permettent de créer des cours en ligne de manière simple et intuitive. Elles offrent également des fonctionnalités avancées telles que des quiz, des sondages, des forums de discussion et des vidéos.

Il est également important de choisir les bons outils pour la création de contenu multimédia. Les vidéos sont un excellent moyen d’illustrer des concepts complexes ou de présenter des démonstrations en temps réel. Les logiciels de montage vidéo tels que Camtasia, iMovie ou Adobe Premiere sont des outils populaires pour créer des vidéos de formation.

Les graphiques et les images peuvent également être utilisés pour clarifier des idées ou pour illustrer des concepts. Les outils de conception graphique tels que Canva ou Adobe Photoshop sont des options populaires pour créer des graphiques et des images.

Enfin, il est important de choisir les bons outils de communication pour interagir avec les apprenants. Les plates-formes de formation en ligne offrent souvent des options de communication intégrées telles que des forums de discussion ou des messageries. Les outils de communication tels que Zoom, Skype ou Google Meet sont également des options courantes pour organiser des sessions en direct avec les apprenants.

En somme, le choix des outils et technologies pour créer du contenu de qualité dépendra de la nature de la formation et des préférences personnelles de l’expert. Il est important de choisir des outils adaptés et de les utiliser de manière efficace pour créer une expérience de formation en ligne engageante et instructive pour les apprenants.

Comment choisir les sujets à couvrir d’une formation lorsqu’on est un expert métier

Vous vous apprêtez à concevoir votre première formation, mais vous ne savez pas trop par où commencer ? Ne vous inquiétez pas, vous n’êtes pas seul ! Beaucoup d’experts métiers se retrouvent dans cette situation et ont du mal à savoir quels sujets couvrir et dans quel ordre les aborder.

Le choix des sujets à couvrir dans votre formation est crucial pour son succès. Vous devez choisir des sujets qui répondent aux besoins de votre public cible et qui soient pertinents par rapport à votre expertise métier. Voici quelques étapes pour vous aider à choisir les sujets à couvrir dans votre formation :

  1. Identifiez les besoins de votre public cible : pour bien articuler votre formation, il est important de comprendre les besoins de votre public cible. Quels sont les problèmes qu’ils rencontrent ? Quels sont les défis qu’ils doivent relever ? Quels sont les sujets qui les intéressent le plus ? Vous pouvez trouver ces informations en menant des enquêtes auprès de votre public cible ou en effectuant une recherche sur les forums en ligne ou les groupes de discussion liés à votre niche.

  2. Réfléchissez aux questions les plus courantes que vous recevez : si vous êtes un expert métier, il y a de fortes chances que vous receviez régulièrement des questions de vos clients ou de vos pairs sur un certain nombre de sujets. Utilisez ces questions comme base pour déterminer les sujets que vous devriez couvrir dans votre formation. Si plusieurs personnes posent la même question, cela indique qu’il s’agit d’un sujet important.

  3. Utilisez des outils de recherche de mots-clés : les outils de recherche de mots-clés tels que Google Keyword Planner ou Ubersuggest peuvent vous aider à identifier les sujets les plus populaires dans votre niche. Vous pouvez également utiliser ces outils pour découvrir les termes de recherche les plus utilisés par votre public cible, ce qui vous aidera à mieux comprendre leurs besoins.

  4. Pensez aux différents niveaux de compétences : lorsque vous créez votre formation, il est important de tenir compte des différents niveaux de compétences de votre public cible. Vous devriez inclure des sujets pour les débutants, les intermédiaires et les experts afin que tout le monde puisse en bénéficier.

  5. Priorisez les sujets : une fois que vous avez une liste de sujets potentiels, vous devez les classer par ordre de priorité. Quels sont les sujets les plus importants pour votre public cible ? Lesquels vont avoir le plus grand impact sur leur vie professionnelle ? En les priorisant, vous pouvez vous concentrer sur les sujets les plus pertinents et les plus importants pour votre public cible.

En suivant ces étapes, vous serez en mesure de choisir les sujets les plus pertinents pour votre formation. Assurez-vous de les organiser de manière logique et cohérente pour une meilleure articulation de votre formation. Vous pouvez également créer des modules distincts pour chaque sujet afin de faciliter l’apprentissage pour vos étudiants.

7 étapes clés pour transmettre son savoir-faire quand on est un expert métier

Créer une formation est un exercice passionnant qui peut être difficile. Cela demande de la patience, de la créativité, de la rigueur, mais aussi de l’humilité. Pour réussir, il faut savoir écouter ses futurs apprenants et les adapter à leurs besoins. Dans ce chapitre, nous allons donc aborder les bonnes pratiques pour bien structurer et articuler votre formation.

  1. Identifiez les objectifs de votre formation
  2. Avant de commencer la conception de votre plan de cours, il est essentiel de déterminer les objectifs de votre formation. Quel est le but final de votre cours ? Que souhaitez-vous que vos apprenants retiennent ? Posez-vous ces questions pour éviter de vous éparpiller et pour garder le fil conducteur tout au long de votre formation.

  3. Définissez votre public-cible
  4. En tant qu’expert métier, vous connaissez certainement bien votre domaine. Cependant, il est important de déterminer qui est votre public-cible. Quelles sont leurs connaissances préalables ? Leur expérience ? Leurs besoins spécifiques ? Cette étape est essentielle pour adapter votre formation à votre public et ainsi maximiser l’efficacité de votre enseignement.

  5. Déterminez les contenus de votre formation
  6. Une fois les objectifs et le public-cible définis, il est temps de déterminer les contenus de votre formation. Quels sont les concepts, les techniques, les outils que vous souhaitez transmettre ? Quels sont les exemples concrets que vous pouvez donner pour illustrer vos propos ? Il est important de trouver un équilibre entre les notions théoriques et les exemples pratiques.

  7. Structurez votre formation en modules
  8. Pour faciliter la compréhension de votre formation, il est recommandé de la structurer en modules. Chaque module correspondra à une thématique spécifique et sera articulé autour d’un objectif pédagogique précis. Cette structuration permettra à vos apprenants de mieux comprendre les enjeux de votre formation et de se repérer facilement dans le programme.

  9. Préparez des supports de formation efficaces
  10. Un bon enseignement passe également par la qualité des supports de formation. Il est important de concevoir des supports visuels clairs et pertinents pour aider vos apprenants à comprendre les concepts présentés. Les supports peuvent prendre différentes formes : diaporamas, vidéos, fiches synthétiques, quiz interactifs, etc. L’important est de trouver le format qui correspond le mieux à vos objectifs pédagogiques.

  11. Intégrez des exercices pratiques
  12. Pour favoriser l’apprentissage de vos apprenants, il est conseillé d’intégrer des exercices pratiques à votre formation. Ces exercices permettront à vos apprenants de mettre en pratique les notions théoriques apprises et ainsi de mieux les assimiler. Les exercices peuvent prendre différentes formes : études de cas, simulations, mises en situation, jeux de rôle, etc.

  13. Évaluez les résultats de votre formation
  14. Enfin, pour savoir si votre formation a été efficace, il est important d’évaluer les résultats. Cette évaluation peut prendre différentes formes : questionnaires de satisfaction, épreuves écrites, entretiens individuels, etc. Cette évaluation vous permettra de savoir si les objectifs de votre formation ont été atteint !

Les bonnes pratiques pour bien structurer et articuler sa formation et son plan de cours

Félicitations ! Vous avez identifié votre expertise, votre niche de marché et conçu votre plan de formation. Maintenant, il est temps de passer à la prochaine étape : structurer et articuler votre formation. Cela peut sembler intimidant, mais ne vous inquiétez pas, nous allons vous guider à travers les étapes pour créer une formation professionnelle et efficace.

  1. Établissez un fil conducteur

Votre fil conducteur est le thème central de votre formation qui permettra à vos participants de comprendre et de retenir l’information clé. Il doit être clair, concis et facilement mémorisable. Par exemple, si vous enseignez la comptabilité, votre fil conducteur pourrait être « Comprendre les états financiers pour améliorer votre rentabilité ». Votre fil conducteur devrait apparaître clairement dans votre titre, votre introduction et votre conclusion.

  1. Divisez votre formation en sections logiques

Les sections de votre formation devraient suivre un ordre logique et cohérent. Chaque section devrait couvrir un sujet spécifique et se connecter de manière fluide avec les autres sections. En général, une formation est divisée en trois parties principales : introduction, corps de la formation et conclusion. Dans le corps de la formation, vous pouvez diviser les sections en sous-sections pour clarifier les concepts et rendre l’information plus accessible.

  1. Créez un plan de cours clair et détaillé

Un bon plan de cours doit être clair, facile à comprendre et détaillé. Il devrait comporter des objectifs d’apprentissage, une liste de matériel requis, une description des activités d’apprentissage, des évaluations et des échéanciers. Il est important de donner à vos participants des indications claires sur ce qui sera couvert dans chaque section, les objectifs de chaque section et ce qu’ils sont censés apprendre.

  1. Utilisez des exemples et des études de cas pour illustrer les concepts

Les exemples et les études de cas sont des outils puissants pour aider les participants à comprendre les concepts abstraits. Ils leur permettent de visualiser les applications concrètes des connaissances qu’ils apprennent et de les appliquer à leur propre vie professionnelle. Assurez-vous de choisir des exemples pertinents et intéressants pour vos participants, qui les captiveront et les aideront à se connecter à votre contenu.

  1. Créez des activités d’apprentissage engageantes

Les activités d’apprentissage sont essentielles pour renforcer les connaissances des participants et les aider à appliquer les concepts appris. Les activités peuvent inclure des exercices, des discussions en groupe, des jeux de rôle, des quiz ou des projets pratiques. Les activités devraient être conçues pour permettre aux participants de s’engager pleinement dans la formation, d’interagir avec les autres participants et d’appliquer les concepts à leur travail.

  1. Fournissez des ressources supplémentaires

Enfin, il est important de fournir des ressources supplémentaires aux participants pour leur permettre de poursuivre leur apprentissage et approfondir leurs connaissances. Ces ressources peuvent inclure des articles, des livres, des vidéos, des activités, des accès à des patrons, etc….

Comment concevoir un plan de cours et de formation efficace

Vous êtes un expert métier passionné par votre domaine et vous avez décidé de créer votre première formation pour partager vos connaissances et compétences avec les autres. Mais par où commencer pour concevoir un plan de cours et de formation efficace ?

Tout d’abord, il est important de définir les objectifs pédagogiques de votre formation. Quels sont les compétences que vous voulez transmettre à vos apprenants ? Quels sont les résultats que vous voulez qu’ils atteignent à la fin de la formation ? Cette étape vous aidera à déterminer le contenu et la structure de votre cours.

Ensuite, vous pouvez élaborer un plan de cours en utilisant des techniques pédagogiques éprouvées. Il existe plusieurs méthodes pour concevoir un plan de cours efficace, mais voici une approche en cinq étapes que vous pouvez utiliser :

  1. Introduction : commencez par présenter le sujet de la formation et expliquez l’importance des compétences que vous allez enseigner.
  2. Objectifs d’apprentissage : énumérez les compétences et les résultats que les apprenants doivent acquérir grâce à votre formation.
  3. Contenu : détaillez le contenu de chaque module ou section de la formation en fonction des objectifs d’apprentissage.
  4. Évaluation : expliquez comment les apprenants seront évalués et comment vous allez mesurer leur réussite.
  5. Conclusion : récapitulez les principaux points de la formation et encouragez les apprenants à mettre en pratique ce qu’ils ont appris.

En plus de ces étapes clés, il est important de tenir compte des éléments suivants pour concevoir un plan de cours efficace :

  • Les besoins des apprenants : gardez à l’esprit les différentes préférences et styles d’apprentissage des apprenants et adaptez votre contenu en conséquence.
  • La durée de la formation : assurez-vous que votre plan de cours convient à la durée de la formation que vous avez prévue.
  • La structure : organisez votre plan de cours de manière logique et cohérente, en utilisant des titres, des sous-titres et des sections clairement définies.
  • Les ressources : intégrez des ressources supplémentaires, telles que des vidéos, des articles ou des exercices pratiques, pour aider les apprenants à mieux comprendre le sujet.
  • La participation active des apprenants : incluez des activités interactives pour encourager la participation et l’engagement des apprenants, telles que des quiz, des discussions de groupe et des études de cas.

Enfin, une fois que vous avez élaboré votre plan de cours, n’oubliez pas de le tester et de l’adapter en fonction des retours des apprenants. La création d’une formation efficace est un processus continu qui nécessite une évaluation et une amélioration constantes.

En résumé, la création d’un plan de cours efficace nécessite de définir les objectifs pédagogiques de votre formation, d’utiliser des techniques pédagogiques éprouvées, de tenir compte des besoins des apprenants et de la durée de la formation, d’organiser le contenu de manière logique et cohérente, d’intégrer des ressources supplémentaires et des activités interactives, et de tester et d’adapter votre plan en fonction des retours des participants et de vos clients.

Les éléments clés d’une formation réussie

Créer une formation à partir de son expertise métier est une excellente façon de partager ses connaissances et d’élargir ses activités professionnelles. Cependant, pour que votre formation soit un succès, il y a des éléments clés que vous devez prendre en compte. Voici une liste des éléments les plus importants pour une formation réussie :

  • Objectifs clairs et atteignables : Il est important de définir les objectifs de votre formation et de les rendre clairs et atteignables pour vos apprenants. Les objectifs doivent être spécifiques, mesurables, réalisables, pertinents et temporels. Si les apprenants savent exactement ce qu’ils vont apprendre et comment cela leur sera utile, ils seront plus motivés à suivre la formation.
  • Contenu de qualité : Le contenu de votre formation doit être de qualité, pertinent et actuel. Vous devez être en mesure de fournir des informations précises et concises qui permettent à vos apprenants de comprendre les concepts clés. Utilisez des exemples concrets pour rendre le contenu plus accessible et facile à comprendre.
  • Interactivité : Les apprenants ont besoin d’interactivité pour rester engagés et motivés. Offrez des activités pratiques qui permettent aux apprenants d’appliquer leurs connaissances, des quiz pour évaluer leur compréhension et des forums de discussion pour échanger avec d’autres apprenants.
  • Support et accompagnement : Les apprenants ont besoin de soutien et d’accompagnement pour réussir leur formation. Offrez-leur un support technique pour les aider à résoudre les problèmes techniques, mais également un accompagnement pédagogique pour les aider à comprendre le contenu de la formation.
  • Accessibilité : Il est important de rendre votre formation accessible à tous les apprenants, quelle que soit leur situation géographique ou leur handicap. Assurez-vous que votre plateforme de formation est accessible et que votre contenu est disponible dans différents formats (texte, audio, vidéo, etc.).
  • Évaluation et feedback : Pour savoir si votre formation est efficace, vous devez évaluer les résultats de vos apprenants et recueillir leurs feedbacks. Utilisez des évaluations formatives et sommatives pour mesurer leur compréhension et leur progression, et offrez-leur la possibilité de donner leur avis sur la qualité de la formation.

En résumé, créer une formation à partir de son expertise métier peut être une excellente opportunité pour élargir ses activités et partager ses connaissances. Cependant, pour que votre formation soit un succès, vous devez prendre en compte ces éléments clés. Avoir des objectifs clairs et atteignables, un contenu de qualité, de l’interactivité, du support et accompagnement, de l’accessibilité et une évaluation régulière et des feedbacks vous permettront de créer une formation réussie et de satisfaire vos apprenants.

Les avantages d’avoir une niche de marché spécifique lorsqu’on crée une formation à partir de notre expertise

Avoir une niche de marché spécifique lorsqu’on crée une formation à partir de notre expertise peut offrir de nombreux avantages. En effet, cela permet de se positionner en tant qu’expert dans un domaine particulier, de se démarquer de la concurrence et de mieux répondre aux besoins spécifiques de ses clients.

Tout d’abord, en se spécialisant dans une niche de marché, on peut devenir une référence dans ce domaine. En effet, en devenant l’expert incontournable d’un sujet spécifique, on se crée une réputation solide et on devient plus visible aux yeux des clients potentiels. Cela permet également de mieux se faire connaître et d’attirer un public qualifié, intéressé par cette expertise particulière.

Ensuite, en proposant une formation spécialisée, on peut répondre aux besoins spécifiques de ses clients. En effet, en se focalisant sur une niche de marché, on peut mieux comprendre les défis auxquels sont confrontés les clients et offrir une formation qui y répond spécifiquement. Les clients apprécient cette attention portée à leurs besoins et sont plus susceptibles d’être satisfaits de la formation.

Enfin, une niche de marché spécifique permet de se différencier de la concurrence. En effet, dans un marché saturé, il est souvent difficile de se démarquer en proposant une formation générale. En se spécialisant dans un domaine particulier, on devient unique et on peut proposer une formation qui répond à des besoins spécifiques et qui n’est pas proposée ailleurs.

Il est donc important de prendre le temps de trouver sa niche de marché et de se spécialiser dans un domaine particulier. Cela permet de se positionner en tant qu’expert, de mieux répondre aux besoins des clients et de se différencier de la concurrence. En proposant une formation spécialisée, on peut offrir une réelle valeur ajoutée à ses clients et se faire une place de choix sur le marché de la formation en ligne.

Les outils pour identifier sa niche de marché

Trouver une niche de marché peut sembler intimidant, mais heureusement, il existe de nombreux outils pour vous aider à identifier la demande pour votre expertise. Voici quelques outils qui peuvent vous aider à trouver votre niche de marché :

  1. Les groupes Facebook

Les groupes Facebook sont un excellent moyen de se connecter avec des personnes qui partagent un intérêt commun. Utilisez la fonction de recherche de Facebook pour trouver des groupes pertinents pour votre expertise. Par exemple, si vous êtes un expert en yoga, recherchez des groupes de yoga. Rejoignez les groupes et commencez à interagir avec les membres. Posez des questions et voyez quelles sont les préoccupations et les problèmes les plus courants. Utilisez ces informations pour déterminer ce que votre public cible recherche.

  1. Google Trends

Google Trends est un outil gratuit fourni par Google qui vous permet de voir comment les gens recherchent des sujets spécifiques en ligne. Vous pouvez utiliser Google Trends pour voir si l’intérêt pour votre expertise a augmenté ou diminué au fil du temps. Vous pouvez également voir où les recherches sont les plus populaires et utiliser ces informations pour cibler votre public.

  1. Les plateformes de formation en ligne

Consultez les plateformes de formation en ligne comme Udemy, Coursera et LinkedIn Learning pour voir quelles formations existent déjà dans votre domaine. Regardez les cours les plus populaires et les mieux notés pour avoir une idée de ce que les gens recherchent. Utilisez ces informations pour créer une formation qui répond à un besoin spécifique.

  1. Les forums en ligne

Les forums en ligne sont un excellent moyen de découvrir les préoccupations et les questions que les gens ont dans votre domaine d’expertise. Recherchez des forums pertinents pour votre domaine et lisez les discussions pour voir quels sont les problèmes les plus courants. Vous pouvez également poser des questions pour obtenir des commentaires directs de votre public cible.

  1. Les sondages

Les sondages sont un moyen simple et efficace de recueillir des informations sur votre public cible. Utilisez des outils de sondage en ligne comme SurveyMonkey pour créer des sondages rapides et faciles à remplir. Posez des questions sur les intérêts et les préoccupations de votre public cible pour mieux comprendre ce qu’ils recherchent.

En utilisant ces outils, vous pouvez identifier votre niche de marché et créer une formation qui répond à un besoin spécifique. N’oubliez pas que votre expertise peut être précieuse pour un public plus large que vous ne le pensez, il suffit de trouver la bonne approche pour toucher votre public cible.

La démarche pour identifier sa niche de marché lorsqu’on veux créer une formation qui cartonne quand on est un expert métier

Trouver sa niche de marché peut sembler intimidant, mais c’est un élément crucial pour créer une formation qui cartonne en tant qu’expert métier. Voici une démarche pour identifier sa niche de marché et ainsi se démarquer de la concurrence.

Tout d’abord, commencez par identifier votre domaine d’expertise. Quelle est votre spécialité ? Quels sont vos compétences ? En quoi êtes-vous passionné ? La réponse à ces questions vous permettra d’identifier votre domaine d’expertise et ainsi de commencer à réfléchir aux problèmes que vous pouvez résoudre pour votre public cible.

Ensuite, analysez votre marché. Qui sont vos concurrents ? Quelles formations proposent-ils ? Comment sont-elles positionnées ? Comment se positionne votre offre par rapport à celle de vos concurrents ? En analysant votre marché, vous pourrez identifier les opportunités et les besoins qui n’ont pas encore été comblés.

Ensuite, identifiez votre public cible. Qui sont vos clients potentiels ? Quels sont leurs besoins et leurs problèmes ? Quelles sont leurs motivations ? Plus vous connaissez votre public cible, plus vous serez en mesure de créer une formation qui répondra à leurs besoins spécifiques.

Une fois que vous avez identifié votre public cible, vous pouvez commencer à réfléchir à votre proposition de valeur. Quelle est votre valeur ajoutée ? Qu’est-ce qui vous différencie de vos concurrents ? En quoi votre formation est-elle unique et pertinente pour votre public cible ?

Enfin, testez votre idée. Avant de vous lancer dans la création de votre formation, testez votre idée auprès de votre public cible. Utilisez les réseaux sociaux, les enquêtes, les groupes de discussion, etc. pour recueillir des feedbacks et des commentaires. Cela vous permettra d’ajuster votre offre en fonction des besoins réels de votre public cible.

En suivant cette démarche, vous serez en mesure d’identifier votre niche de marché et de créer une formation qui répondra aux besoins spécifiques de votre public cible. En vous positionnant en tant qu’expert dans votre niche, vous pourrez vous démarquer de la concurrence et attirer de nouveaux clients. Alors n’hésitez pas à vous lancer et à explorer votre potentiel de formation en tant qu’expert métier !

L’importance de trouver une niche de marché lorsqu’on veux créer une formation qui cartonne quand on est un expert métier

Trouver une niche de marché est essentiel pour tout expert métier qui veut créer une formation qui cartonne. En effet, la concurrence est féroce et il est souvent difficile de se démarquer dans un marché saturé.

La première étape est d’identifier les besoins de votre public cible. Qui sont-ils ? Qu’est-ce qu’ils recherchent ? Quels sont leurs problèmes et défis ? Cette recherche approfondie peut se faire à travers des enquêtes, des sondages, des interviews et l’observation de leur comportement en ligne. Plus vous en savez sur votre public cible, plus vous pouvez adapter votre formation pour répondre à leurs besoins spécifiques.

La seconde étape consiste à choisir une niche qui vous passionne. En effet, la création d’une formation prend beaucoup de temps et d’énergie, il est donc important de choisir une niche qui vous passionne. Lorsque vous êtes passionné par un sujet, vous êtes plus enclin à continuer à vous former et à rester au courant des dernières tendances et innovations. De plus, votre passion se reflétera dans la qualité de votre formation et votre public sera plus enclin à s’engager et à recommander votre formation.

Enfin, il est important de se positionner en tant qu’expert dans votre niche. Cela signifie que vous devez vous engager activement dans votre communauté en partageant vos connaissances et en établissant votre présence en ligne. Partagez votre expertise à travers des blogs, des vidéos, des podcasts, des webinaires, etc. En établissant votre présence en ligne, vous attirerez votre public cible et vous vous démarquerez de la concurrence.

Trouver une niche de marché peut sembler difficile, mais en utilisant une approche méthodique et en suivant ces étapes, vous pouvez trouver la niche qui vous passionne et répondre aux besoins de votre public cible. Une fois que vous avez identifié votre niche, vous pouvez créer une formation qui répond spécifiquement aux besoins de votre public et vous positionner en tant qu’expert dans votre domaine.

Des expertises métiers qui peuvent se transformer en formation qui cartonne

Vous avez identifié votre expertise métier et vous vous demandez comment la transformer en une formation qui peut cartonner auprès des clients ? Dans ce chapitre, nous allons explorer quelques exemples d’expertises métiers qui peuvent être transformées en formations à succès.

  1. La cuisine

Si vous êtes un chef cuisinier expérimenté, vous pouvez proposer une formation en ligne pour apprendre aux gens à cuisiner comme un pro. Vous pouvez leur enseigner les techniques de base de la cuisine, les astuces pour préparer des plats de qualité, et les secrets de la présentation culinaire.

  1. Le marketing digital

Si vous êtes un expert en marketing digital, vous pouvez proposer une formation pour aider les entreprises à améliorer leur présence en ligne. Vous pouvez leur apprendre les meilleures pratiques pour optimiser leur site web, les astuces pour augmenter leur trafic en ligne, et les stratégies pour améliorer leur taux de conversion.

  1. La photographie

Si vous êtes un photographe professionnel, vous pouvez proposer une formation en ligne pour enseigner les bases de la photographie. Vous pouvez enseigner les techniques de prise de vue, les astuces pour la composition d’une photo, et les secrets de l’édition photo.

  1. La gestion de projet

Si vous êtes un expert en gestion de projet, vous pouvez proposer une formation pour aider les professionnels à améliorer leurs compétences en gestion de projet. Vous pouvez leur enseigner les meilleures pratiques pour la planification de projet, les astuces pour la communication efficace avec les parties prenantes, et les stratégies pour gérer les risques de projet.

  1. La finance

Si vous êtes un expert en finance, vous pouvez proposer une formation pour aider les particuliers à mieux gérer leur argent. Vous pouvez leur enseigner les bases de la finance personnelle, les astuces pour économiser de l’argent, et les stratégies pour investir intelligemment.

Ces exemples ne sont que quelques-uns des nombreux domaines dans lesquels vous pouvez proposer une formation de qualité. L’essentiel est de choisir un sujet qui vous passionne et dans lequel vous avez une expertise solide, tout en répondant aux besoins des clients et du marché.

N’oubliez pas que le succès d’une formation dépend en grande partie de la qualité de son contenu et de sa présentation. N’hésitez pas à ajouter votre touche personnelle, vos anecdotes et votre humour pour rendre la formation plus intéressante et plus engageante pour les apprenants.

En conclusion, l’expertise métier est un atout précieux pour créer une formation qui cartonne. En choisissant un sujet qui vous passionne et en répondant aux besoins des clients et du marché, vous pouvez créer une formation de qualité qui peut aider les autres à réussir dans leur domaine.

Comment valider son expertise métier ?

Vous avez identifié votre expertise métier, mais comment pouvez-vous la valider ? Comment pouvez-vous être sûr que vous êtes vraiment un expert dans votre domaine et que vous pouvez proposer une formation de qualité ? Ce chapitre vous donne les clés pour valider votre expertise métier.

Tout d’abord, il est important de rappeler que la validation de votre expertise peut être subjective et dépendre de plusieurs facteurs. Néanmoins, il existe des éléments qui peuvent vous aider à démontrer votre expertise et à la rendre plus tangible pour les clients.

Une première étape pour valider votre expertise est de vous tenir informé des dernières évolutions de votre secteur. En effet, en tant qu’expert métier, vous devez être à jour sur les dernières tendances et les dernières technologies de votre domaine. Cela peut vous permettre de proposer une formation pertinente et actuelle pour vos clients.

Une autre façon de valider votre expertise est de vous former vous-même. Vous pouvez suivre des formations complémentaires pour élargir vos compétences et vous spécialiser davantage dans un domaine spécifique. Vous pouvez également obtenir des certifications reconnues dans votre secteur, qui attestent de vos connaissances et de votre expérience.

Enfin, vous pouvez vous appuyer sur des références externes pour valider votre expertise. Par exemple, vous pouvez demander des témoignages de clients satisfaits de vos prestations ou des partenaires avec lesquels vous avez travaillé. Ces références peuvent vous aider à renforcer votre crédibilité auprès des clients.

Il est important de rappeler que la validation de votre expertise n’est pas un processus ponctuel, mais plutôt un travail continu. Vous devez rester à jour sur les dernières tendances et les dernières évolutions de votre secteur, vous former en continu pour élargir vos compétences, et demander régulièrement des retours d’expérience de la part de vos clients pour améliorer vos prestations.

En résumé, pour valider votre expertise métier, restez à jour sur les dernières évolutions de votre secteur, formez-vous en continu, obtenez des certifications reconnues, et demandez des références externes pour renforcer votre crédibilité auprès des clients.

Comme le disait Albert Einstein, « Le savoir ne vaut que s’il est partagé. » N’hésitez pas à partager votre expertise avec les autres à travers une formation de qualité, en prenant soin de la valider régulièrement pour garantir une prestation de haut niveau.

Comment déterminer votre expertise métier ?

Vous êtes expert dans votre domaine, mais comment déterminer votre expertise spécifique ? Comment trouver la pierre angulaire de votre formation à venir ? Ce chapitre vous donne les clés pour identifier votre expertise métier.

Tout d’abord, posez-vous les questions suivantes :

  • Quels sont mes points forts en tant qu’expert métier ?
  • Quels sont les problèmes auxquels je suis régulièrement confronté et comment les ai-je résolus ?
  • Quels sont les sujets sur lesquels les clients me consultent le plus souvent ?
  • Dans quels domaines mes connaissances sont-elles les plus pointues ?
  • Quels sont les aspects de mon travail qui me passionnent le plus ?

Ces questions peuvent vous aider à déterminer les domaines dans lesquels vous êtes le plus compétent et qui peuvent faire l’objet d’une formation.

Une autre question importante à se poser est : Qu’est-ce qui rend mon expertise unique ? Pourquoi les clients devraient-ils choisir votre formation plutôt que celle d’un autre expert ?

Pour répondre à cette question, il est important de prendre en compte votre parcours professionnel et votre expérience. Avez-vous travaillé dans des entreprises de renom ? Avez-vous réalisé des projets ambitieux ? Avez-vous remporté des prix ou des distinctions dans votre domaine ? Ces réalisations peuvent être des atouts pour vous différencier des autres experts et pour renforcer votre crédibilité auprès des clients.

Il est également important de réfléchir aux tendances actuelles de votre secteur et aux besoins des clients. Les besoins des clients peuvent évoluer au fil du temps, et il est donc important de rester à jour sur les dernières tendances et les nouvelles technologies pour proposer une formation pertinente et actuelle.

Enfin, n’oubliez pas que votre expertise peut être déterminée par votre personnalité et votre style d’enseignement. Êtes-vous quelqu’un de pédagogue ? Avez-vous une approche pratique ou théorique ? Ces aspects peuvent faire la différence pour les clients et vous permettre de vous différencier des autres experts.

En résumé, pour déterminer votre expertise métier, posez-vous les bonnes questions, prenez en compte votre parcours professionnel et votre expérience, tenez compte des besoins des clients et des tendances actuelles de votre secteur, et n’oubliez pas de mettre en avant votre personnalité et votre style d’enseignement unique.

Comme le disait le célèbre philosophe Socrate, « La sagesse commence dans l’émerveillement. » Il est temps de vous émerveiller devant votre propre expertise et de la mettre au service des autres à travers une formation de qualité.

Identifier son expertise métier pour créer sa formation

Vous êtes un expert dans votre domaine, mais comment identifier cette expertise spécifique que vous souhaitez transmettre ? Comment créer une formation à partir de cette expertise ?

Tout d’abord, il est important de réfléchir aux compétences et connaissances que vous possédez et qui sont en demande sur le marché. Vous pouvez prendre en compte les tendances actuelles de votre secteur, les défis rencontrés par les entreprises, ou encore les besoins des clients. Cela peut vous aider à identifier une expertise spécifique que vous pouvez transmettre à travers une formation.

Ensuite, vous pouvez réfléchir à votre propre parcours professionnel. Quelles ont été vos réalisations les plus significatives ? Quelles ont été les expériences les plus enrichissantes pour vous ? Ce sont souvent les domaines dans lesquels vous êtes le plus compétent et qui peuvent faire l’objet d’une formation.

Une autre manière d’identifier votre expertise métier est de demander à vos clients ou à vos collègues quelles sont les compétences ou connaissances que vous possédez qui les ont le plus aidés. Cela peut vous aider à comprendre comment votre expertise peut être utile pour les autres et à identifier des domaines dans lesquels vous êtes particulièrement compétent.

Enfin, vous pouvez également effectuer une analyse de marché pour identifier les domaines dans lesquels il y a une forte demande pour des formations spécifiques. Cela peut vous aider à identifier les opportunités de marché pour votre expertise et à créer une formation qui répond aux besoins des clients.

Une fois que vous avez identifié votre expertise métier, il est temps de créer votre formation. Voici quelques étapes à suivre pour créer une formation efficace :

  1. Établissez des objectifs clairs : définissez ce que les participants devront être capables de faire à la fin de la formation. Ces objectifs doivent être mesurables et spécifiques.

  2. Élaborez un plan d’enseignement : déterminez le contenu de la formation en fonction des objectifs établis. Organisez le contenu en modules et déterminez le temps nécessaire pour chaque module.

  3. Choisissez les supports de formation : sélectionnez les supports pédagogiques les plus appropriés pour votre formation, tels que des présentations PowerPoint, des vidéos ou des documents.

  4. Créez des exercices pratiques : incluez des exercices pratiques pour permettre aux participants d’appliquer les connaissances acquises et de renforcer leur apprentissage.

  5. Évaluez la formation : évaluez la formation à la fin pour déterminer si les objectifs ont été atteints et si les participants ont été satisfaits de la formation. Utilisez ces retours pour améliorer votre formation pour la prochaine fois.

Il est également important de noter que la création d’une formation ne se limite pas à la préparation de matériel didactique. Il faut également tenir compte des aspects logistiques tels que la planification, la promotion et la gestion des inscriptions.

En résumé, identifier son expertise métier et créer une formation peut sembler intimidant au début, mais en suivant les étapes ci-dessus, vous pouvez créer une formation efficace qui répond aux besoins des clients et qui peut vous aider à développer votre activité en tant qu’expert métier.

Comment gérer un conflit entre participants de ma formation

Tu remarques que les autres participants commencent à se renfermer et à diminuer leur engagement dans les débats ou les débriefing.

 

Un malaise est apparu dans ta formation.

Tu as  identifié  qu’il se passe quelque chose entre 2 participants.

 

Tu deviens le spectateur d’un conflit qui se concrétise dans ton groupe d’apprenant.

Il est temps de réagir !

Mais comment ?

Dans cette vidéo, on t’explique le mécanisme d’escalade du conflit et on partage notre méthode D.E.E.P. pour que tu puisses résoudre le conflit naissant !

La fin des quiz en formation !

Tu fais encore des quiz en 2022 ?

T’es plus à la page, c’est le moment de changer ça !

Céline te montre comment faire pour les remplacer avec Wordwall dans son tout nouveau tuto :

Comment former en utilisant la pédagogie active sans être un as de la conception pédagogique

 Dans cet article, je vais te montrer comment avoir une formation active et passionnante, et que tes participants n’oublieront pas de sitôt !

Malgré toute mon expérience, il y a un truc que je ne connaissais pas et qu’un vieux briscard de la formation ma montre.

Depuis que j’applique son astuce, mon taux de satisfaction de mes formations à dépasser les 98%.

Toi aussi, tu sera capable de réussir à animer une formation engageante et passionnante pour tes apprenants à la fin de cette vidéo.

Le but de la pédagogie active

La pédagogie active cherche à rendre acteur l’apprenant. Fini l’apprenant assis sur sa chaise à écouter tranquillement la parole divine du formateur !

Pour mettre en place la pédagogie active dans tes formations, arrête les monologues explicatifs avec un support de type slide !

Je sais ça te rassure et ça rassure les apprenants, mais ça ne les rend pas actif pour autant !

Tu as déjà eu ces longs moments ou tu parles, tu parles, tu parles (trop à mon gout) et tu vois tes apprenants décrocher la plupart du temps ? Non ? Mais si rappel toi, c’est quand Robert c’est endormis après ton explication sur l’usage de la mécanique de la communication active dans une relation de couple au sein d’une communauté !

Bon, tu as des excuses, tu as fait ça après le repas, qui a été bien arrosé, surtout pour Robert ! et sur un sujet hyper technique !
Et il faut l’admettre chiant à mourir !

Au début, je sais, ce n’est pas facile!

Tu auras des plaintes ou des reproches! Monsieur, plus d’explications !
Et oui, tu n’expliques pas comme devrait le faire un bon formateur.

T’inquiète comme dirait ma dernière, c’est ce qu’ils disent avant ! après il te remercie de les avoir mis au centre de leur apprentissage !

C’est une perception et un ressenti réel qu’ils ont!

Ne les balaye pas du revers de ta main mais explique leur ou tu veux en venir et comment y parvenir !

La posture de la formatrice qui utilise la pédagogie active

Après tout, toutes les informations sont disponibles sous une multitude de formes sur internet.

Ton rôle de formateur est alors de faire explorer ces contenus et ses informations à tes apprenants.

Par exemple, tu as un vocabulaire, un champ sémantique de ton domaine à faire leur apprendre.

Et bien, aux lieux de leurs expliquer un à un les mots de ton domaine, fait leur trouver les définitions et demande leur de les expliquer aux uns et aux autres.

Leur réussite passe par tes explications des objectifs à atteindre, de ce qu’ils doivent faire pour les atteindre, combien de temps cela va leur prendre de temps, comme ils vérifient qu’ils ont atteint leur objectif et quels sont les critères d’évaluation que tu as mis en place.

Parfois certain on besoin plus de support que d’autre, alors fait ta pom pom girls, soutien des apprenants sur leur chemin d’apprentissage.

Ne laisse pas Micheline au bord de la route, parce qu’elle n’y comprend rien,
c’est vrai, elle n’y comprend rien, mais ce n’est pas de sa faute, c’est de la tienne, t’explique mal 😉

Sache qu’ils n’ont pas l’habitude d’autant d’autonomie…pour apprendre des choses nouvelles avec des modalités aussi révolutionnaires, n’est ce pas ?

Que faire pour avoir une formation qui utilise la pédagogie active ?

Alors vas-y franco, encourage les !

Guide les pour qu’il puisse réussir
Aide les à démêler le vraie du faux.

Éveille leur curiosité.
Émerveille les et surprend les en faisant des choses inhabituelles.

Varie les formes des apprentissages, lecture, visionnage, réflexion, débat, jeux.

Varie le travail individuel ou en groupe.

Oui cela va te demander de revoir de fond en comble ta formation, pour qu’il n’y est plus que des moments actifs pour tes apprenants.

Franchement, le jeu en vaut la chandelle !

Tu peux commencer en utilisant les jeux cadre de Thiagi et de les appliquer sur une séquence de ta formation

Test et analyse les résultats pour tes apprenants !

Recommences sur une autre séquence,

Entretemps, réfléchis à ce que tu voudrais tester de nouveau .

Toi aussi tu dois être curieux et ouvert à des pratiques à l’opposé de ce que tu as vu jusqu’à maintenant !

Alors à toi de jouer!

Bon comme tu l’a compris, j’arrive au bout de cet article où je te partage la façon de remettre les apprenants aux centre de leur apprentissage avec la pédagogie active.

Comment choisir le bon Icebreaker de bien démarrer ma formation ? 

Comment on fait pour bien choisir l’Icebreaker pour propulser la formation et lui donner du rythme. reste bien jusqu’au bout car je te partage mon IceBreaker Passe Partout !

Bien démarrer ta formation est important, et faire que le groupe se sente bien, c’est important ! 

Comme t’a expliqué Nico, le démarrage est crucial pour le bon fonctionnement du groupe d’apprentissage. On peut vite tomber sur le piège du mauvais Icebreaker et de se retrouver avec un groupe moins réceptif. 

Le 1er critère à prendre en compte est la connaissance que les uns ont des autres. 

On a 2 cas de figure : 

1er cas de figure : les apprenants se découvrent pour la première fois même s’ils viennent de la même entreprise. 

2ème cas de figure : Les apprenants sont de la même entreprise et se connaissent, et peuvent travailler ensemble depuis plusieurs années!

Dans ces 2 cas de figure, on n’aborde pas le démarrage de la formation de la même manière et surtout, on utilise pas le même Icebreaker ! 

Souvent on ne sait pas dans quel cas de figure on va se trouver. Il est nécessaire alors d’avoir 2 ou 3 icebreakers qui permettent de couvrir ces 2 ou trois cas de figure.

Pour le 1er cas, on va éviter tous les IceBreakers qui exposent la vie privée ou les valeurs des personnes aux autres. 

 

2ème critère: la prise en compte  des traits de personnalités des personnes qui constituent votre groupe. 

Une personne introvertie a plus de mal à exposer ses idées ou à déballer sa vie privée en public, à des inconnues, et cela va pour un groupe ou elle ne connait personne.

Il faut avoir des Icebreakers ou les introverties puissent s’exprimer sans se dévoiler. Un atelier comme bienvenue dans mon monde où les personnes naviguent d’une personne à une autre en regardant ce qui est marqué sur leur badge et pour lesquels, elles doivent récolter des informations, des indices ou des précisions pour les partager à d’autres personnes est un bon moyen d’entrer en matière.

Le 3ème critère est justement la connexion faite avec le contenu de la formation lors de l’icebreaker.

On voit trop souvent de superbe IceBreaker ou les participants sont en plein énergie et qui par la suite ne comprennent pas pourquoi avoir fait cette action par rapport à la formation.

L’icebreaker doit être également un moment de connexion avec le contenu de la formation.

Je reprend l’exemple précédent, “Bienvenu dans mon monde”, les indices ou les informations à rechercher doivent être en lien avec le thème de la formation et ce qui y sera vu. 

Tu peux en profiter pour coupler cela avec l’évaluation des connaissances et compétences d’entrée en demandant au participant de déterminer qui est plus avancé qu’eux sur le sujet dans la pièce par exemple.

Je viens de te partager les 3 critères pour bien choisir son Icebreaker pour ton début de formation et comme promis en début de cet article, je te partage un Icebreaker Passe Partout !

un Icebreaker Passe Partout

Celui que tu peux utiliser les yeux fermés et tu sais que tu ne vas pas te tromper !

Le but de Mon Icebreaker est de faire réaliser une ligne avec et par les participants : 

De celui qui est le plus proche au plus éloigné, en distance, en temps de trajets.

Puis on passe à une connexion vers la connaissance du sujet : du plus expérimenté dans le domaine qu’on va voir dans la formation au moins expérimenté. 

On peut alors demander à constituer des groupes hétérogènes ou il faut de expérimentés, des intermédiaires et des inexpérimentés. Ce groupe se soutiendra tout au long de la formation ! 

Et la cerise sur le gâteau, les plus expérimentés vont aider et partager leurs expériences au moins expérimentés. Et les moins expérimentés vont les challenger en retour sur ce qu’ils connaissent déjà !

On arrive au bout de cet article où je t’ai partagé notre expérience sur comment choisir le bon Icebreaker pour bien démarrer ta formation.

En prime, je t’ai donné notre IceBreaker préféré !

Les 7 erreurs à ne pas commettre en animation d’un groupe en formation que même les formateurs les plus expérimentés font !

Les 7 erreurs à ne pas commettre en animation d’un groupe en formation que même les formateurs les plus expérimentés font !

 

Ces 7 erreurs nuisent considérablement au bon fonctionnement du groupe et donc à l’apprentissage des apprenants.

Pour t’expliquer ces 7 erreurs, je m’appuie sur le modèle de tuckman sur le développement d’un groupe, un groupe d’apprenants par exemple.

Ce modèle est en 5 phases : 

La 1ère phase ‘forming’ – Une phase critique – c’est la phase où les apprenants et le formateur se rencontrent et se découvrent. 

On entend souvent qu’il est important de casser la glace et de faire un Ice Breaker …

Oui il faut casser la glace, mais il faut être mesuré dans le choix qu’on fait. 

La 1ère erreur

L’ice breaker ne doit pas dévoiler des choses personnelles des participants alors qu’ils ne se connaissent pas encore ! des Ice breakers qui portent sur les valeurs des personnes , je pense à  – donc ce type d’icebreakers sont à proscrire, vaut mieux des icebreakers plus simples. 

Une fois que les personnes se sont apprivoisées alors le groupe passe dans une 2ème phase, celle du Storming. 

Cette phase est sans doute la plus critique et la plus difficile à gérer comme animateur et formateur. Cette une phase de confrontation et d’expression de ses positions sur des sujets. Chacun ne cherche plus à être polie mais bien à exprimer ce qu’il pense. 

Il peut y avoir des positions tranchées sur des sujets qui catalysent des débats et des passions. 

La 2ème erreur

avec le groupe, c’est de ne pas prendre en compte les différentes positions, et soi d’être vue comme prenant partie pour l’une ou l’autre des positions, et d’aller jusqu’à défendre la position d’un des participants, bec et ongle ! L’erreur amène souvent le groupe à redescendre au niveau forming et de ne plus exprimer ses positions et de rester neutre ! Ça a un effet négatif sur l’apprentissage du groupe et des personnes.

Lorsque le groupe a trouvé son équilibre sur la façon d’exprimer ses opinions et de réussir à avoir de débat qui ne se transforme plus en guerre des tranchées. Le groupe passe dans la phase de “Norming”. 

Le groupe normalise son fonctionnement et les relations au sein du groupe.

La 3ème erreur

qui est commise dans cette phase est de laisser des règles de fonctionnement implicitement se développer.  La digression des règles de fonctionnement implicites amènent le conflit. La gestion du conflit positionne à nouveau le groupe dans la phase 2, le Storming. 

Le groupe doit trouver son mécanisme de gestion des conflits. 

La 4ème erreur

est de ne pas aider le groupe à trouver le mécanisme de gestion du conflit sans que l’animateur ou le formateur n’ai à intervenir ! 

 

La phase suivante, Performing, la phase de performance, est une phase qui n’est pas toujours atteinte par les groupes. 

Car, elle nécessite que le groupe à des mécanismes de prise de décision communs, compris et utilisés par tous. Et que pour chaque soumission, n’importe quel membre du groupe pourrait prendre à la place du groupe et serait vu comme “on aurait pris la même décision !”

La 5ème erreur

est de laisser le groupe s’endormir en pensant qu’il est devenu “invulnérable” que rien ne peut lui résister. Il ne remet plus en question la façon dont il réalise les choses. Et les membres du groupe ne se posent plus de questions… 

Malheureusement, tout à une fin, même pour les supers groupes et les supers formations. Le groupe rentre alors dans sa phase ultime : “Adjourning” 

C’est la fin de formation, et c’est l’heure de se quitter ! 

La 6ème erreur

est de ne rien faire pour accompagner cette fin de formation et de laisser passer ce temps spécifique pour permettre au groupe de se faire à l’idée de ne plus se voir dans ce contexte spécifique de la formation. 

Le modèle n’est qu’un modèle qui permet de mieux comprendre comment cela fonctionne et comment on peut mieux réagir. 

La 7ème erreur

porte justement sur cette compréhension du fonctionnement du groupe et de penser que le groupe est uniquement dans l’une de ces phases. Il n’est par rare de voir un groupe dans les 4 premières phases en même temps, mais sur des sujets différents ! Le modèle est linéaire pour expliquer celui-ci, mais la réalité est tout autre !

Maintenant que tu connais les 7 erreurs, quelle est l’erreur que tu rencontres le plus souvent sur le terrain ?

Existe-t-il des groupes différents ? Comment ces groupes évoluent-ils ?

Est-ce que tu as déjà remarqué qu’on faisait pas 2 fois la même formation ? 

Parfois, on se dit qu’on a évolué entre les 2, parfois, on se dit que c’est parce qu’on n’a pas les mêmes personnes en face de soi.

 

Alors voilà, on sait qu’à chaque formation, on sera face à un groupe, et que c’est ce groupe qui sera la force de notre formation. 


Donc, comment on gère, nous ? Comment on crée de la cohésion, quelle est l’importance du groupe ? 

 

Bref, on a plein de questions, et autant de réponses !

Qu’est ce qu’un groupe ? 

 

Le groupe est un accélérateur d’apprentissage, et repose sur trois composantes de base : identité, énergie, but commun.

 

Est-ce qu’il y a une évolution de ce groupe ?

 

Des modèles existent, Tuckman par exemple Forming, Storming, Norming, Performing, Adjourning. 

 

Comment amenons-nous le groupe à évoluer et jusqu’où ?

 

Est-ce que la disposition de la salle a-t-elle une influence ?

 

Type de salles, éléments …

 

Est-ce que c’est bon de faire un travail de groupe tout le temps ?

 

 Genre t’as une formation de 3 mois, et tu fais que du travail de groupe ?

Comment gérer au mieux les personnes difficiles ?

👉 La séance de formation, c’est comme un repas de famille ! 

 

Parfois ça se passe super bien, on a partagé un bon moment, on est heureux d’avoir pu se voir, et on se dit même “oh, ça m’avait manqué”. 😁

 

Et parfois, on se demande ce qu’on fait là. Entre l’oncle Michel qui fait ses blagues pas drôles, Viviane qui fait la tête, Hervé qui est contestataire (d’ailleurs, lui c’est celui qu’on met en haut de la liste des gens à éviter, parce qu’on est sûr qu’on va s’engueuler), et Dominique qui fait vraiment, vraiment trop de bruit. On n’a qu’une envie, c’est que tout le monde rentre chez soi. 🙄

 

Bref, c’est pas toujours facile.

 

➡️ Dans ce live, on va parler “gestion des cas difficiles”, ou : comment tu fais quand un ou plusieurs stagiaires te mettent en difficulté.

Comment obtenir les attentes de nos stagiaires en formation sans faire un recueil de besoin préalable à la formation?

  1. But du démarrage : 

Inspirer confiance,

Permettre aux stagiaires de découvrir leur environnement

 

Comment  ?

Un protocole souvent bien établi :

 

Un accueil (bonjour, café, pour certain un premier atelier / jeu, ….),

Une présentation de l’école, ce qu’elle fait, son implantation …. 

Partager les objectifs et le plan du jour / de la formation

Se présenter, (permettre la légitimité et la mise en confiance) 

Note : vue la semaine dernière …

Puis c’est autour des stagiaires de se présenter l’un envers les autres

On en profite pour récupérer ses attentes explicites. Et nous tentons généralement, par le questionnement, de récupérer les attentes implicites.

 

QUESTION : Avez-vous un protocole de démarrage établi ?

 

Aujourd’hui nous allons nous concentrer sur la présentation des stagiaires et plus particulièrement sur le recueil de leurs attentes.

Nous savons que pour certaines formations les attentes sont récoltées avant la formation auprès des stagiaires. Surtout quand la formation est construite sur mesure, pour répondre à ces attentes. 

 

Ce qui n’est pas le cas pour les formations dites formations sur catalogue. Elles sont construites sur des attentes hypothétiques. Nous avons fait un constat, ou émis des hypothèses sur les attentes des personnes.

 

Il est alors nécessaire de faire une collecte, un recueil de ces attentes pour ajuster la formation et la faire coller au plus près aux attentes des stagiaires.

 

Il existe une multitude de façon de faire. 

 

Nous allons évitons les façons ou le stagiaire : 

 

attend avec impatience ou avec anxiété son tour pour prendre la parole 

 

=> Souvent c’est l’anxiété, car vous rencontrez de nouvelle personne, en groupe (pas petit généralement 10 – 20 – 30 personnes en ordre de grandeur), vous avez en tête plein d’image qui représentent les choses qu’il pourrait vous arriver. La peur est présente ! 

 

Et l’attente est parfois longue ! 

 

Si vous faites un tour de table, le dernier à parler peut attendre presque 30 à 60 minutes avant de prendre la parole.

 

    Pendant ce temps, d’attente, la personne écoute peut les autres présentations. Elle les écoute d’une oreille distraite !

 

Puisqu’elle a tendance à se concentrer sur ce qu’elle va dire.

 

En plus, comme le formateur pose des questions pour mieux connaître les attentes des stagiaires, il se rend compte, qu’au fur et à mesure des passages des uns et des autres, que les attentes qu’il a, ont été exprimées par les autres stagiaires. => Il va faire une redite, ce qui peut être énervant pour certain en y voyant un perte de temps  et se dire que le rythme est mou, lent…

 

QUESTION : Est-ce qu’un tour de table  respecte la règle ?

 

QUESTION : Est-ce qu’une présentation croisée respecte la règle ?

 

Ces deux forment ne respectent pas la règle que nous nous fixons  et que nous venons de donner ! 

En effet, à chaque fois les stagiaires attendent leur tour pour prendre la parole ! 

 

C’est même pire dans le second cas ! dans la présentation croisée : vous devez parler de quelqu’un dont vous venez de faire la connaissance 

 

-> Si vous êtes timide ou introvertie, c’est un calvaire pour vous !

 

Les conditions pour commencer la formation pour ces personnes sont désastreuses !

 

Va falloir en mettre de l’énergie pour rattraper le coups !

 

Nous savons que parfois, nous n’avons pas le choix, nous devons y passer par ce fameux tour de table !

 

Mais nous pouvons l’agrémenter un peu pour que les stagiaire s’écoutent les uns et les autres

 

Alors que pouvons-nous faire ?

 

Décorréler les attentes de la présentation de qui est dans la vie votre stagiaire. 

 

Vous pouvez faire un tableau de 3 colonnes sur un paperboard ou 3 espaces dans un jamboard pour une CV : faire, avoir, être

 

Donne les instructions suivantes aux stagiaires :

  • Chacun a des attentes de cette formation. Ces attentes peuvent être différentes ou identiques.
  • Nous allons les identifier ensemble en 2 phases,

— Phase 1 — 

  • 1 – Inscris tes attentes sur des post-it, 
  • Attention : Une attente = Un post-it
  • 2 – Si tu vois qu’une attente que tu as, a déjà été mise dans la colonne, Écrit un “+” dessus.
  • 3 – Tu as 5 minutes pour faire l’exercice.

 

Au bout des 5 minutes, 

— Phase 2 — 

Parcours avec les stagiaires les post-it, si certains ne sont pas clairs, demande aux stagiaires de les expliciter.

 

Tu peux les challenger aussi sur leurs attentes :

 

  1. Comment va tu savoir que ton attente a été couverte durant ta formation ? Comment vais-je savoir si j’ai répondu à ton attente ?
  2. Comment pouvons-nous répondre à ton attente ?
  3. Si vos attentes ont été couvertes, lors de l’évaluation seriez vous prêt à me donner une note de 10/10 ? Si ce n’est pas le cas, qu’est-ce qui faudrait que je fasse pour obtenir ce 10/10 ? Inscrit tes idées sur un post-it et mets le dans la bonne colonne.

 

Si 2 attentes semblent être opposé, c’est à dire qu’en répondant à l’une, tu ne peux répondre à l’autre : 

 

L’un demande beaucoup de théorie pour comprendre comment cela fonctionne et un autre demande que des choses pratiques et opérationnelles ….

 

QUESTION : Avez-vous déjà rencontré ce type de situation ?

 

Demande au participant d’imaginer une solution qui les satisfasse tous les deux…

 

Si tu identifies des attentes qui ne peuvent être couvertes dans ta formation, => indique leur pourquoi ! et demande soit une suppression du post-it, soit une modification de celui-ci.

 

Et pour finir :

Faite acté que toutes les attentes sont bien présentes, que tu vas en tenir compte. Et que vous allez en faire un bilan à la fin de la journée, de la formation … 

 

Bien entendu, tu n’oublies pas de faire ce bilan, hein ?

 

En variante, tu peux lui poser comme instruction de te lister ses critères pour qu’il dise “waouh, c’était génial cette formation !”

Comment bien réussir son entrée en scène en formation ?

Les premiers moments en formation sont cruciaux.

 

C’est ces moments là qui vont donner le rythme et la tonalité de la formation, donner le “LA”  

 

Dans ces premiers moments, il y en a bien un qui doit être soigné. Ce moment est le moment ou nous nous présentons et ou les apprenants / stagiaires se présentent. 

 

C’est un des premiers moments d’inclusion de la formation. 

 

Il faut le réussir car il conditionne la réussite de la formation.

 

Ne disons nous pas que nous n’avons qu’une chance de faire bonne première impression.

 

C’est un sujet qui semble évident à beaucoup de formateurs. C’est qu’il semble tellement évident qu’il est très peu documenté. 

 

A contrario des ateliers ludo-pédagogiques ou de brise-glace sur la phase ou les stagiaires se présentent et indiquent leurs attentes. 

 

Pourtant bien se présenter et le faire au bon moment participent grandement à la réussite du démarrage de la formation !

 

Cela nous semble important d’en parler.

 

Nous allons voir durant ce Live 

comment bien se présenter et la rendre inoubliable.

 

Et nous vous partagerons une  pratique de présentation qui peut s’appliquer aux formations à distance et les formations en présentiel et qui changent d’une simple présentation classique.

 

N’hésitez pas à commenter en apportant vos propres  expériences ou exemples et à nous poser des questions. Cela nous fait plaisir d’échanger et répondre à vos questions sur ce sujet.

 

Sa présentation est un élément clé pour créer la confiance auprès de nos apprenants.

 

A part d’être reconnue dans votre domaine et que vos apprenant suivent votre actualité, la plupart ne vous connaissent pas ! 

 

QUESTION : Donnez vous votre confiance à un inconnu au bout de quelques minutes ?

 

Votre présentation /introduction doit générer un sentiment de confiance de la part de vos apprenants. 

QUESTION : Quand vous présentez-vous ?  A quel moment vous faites votre présentation ?

 

Souvent en tout début, ou juste après le programme et avant les stagiaires.

 

Souvent après l’introduction général du sujet.

 

QUESTION : Comment vous présentez-vous ? Qu’est ce que vous donner comme information ?  

 

Les formateurs souvent donnent des info courante sur :

leur état civil,

leurs diplôme,

la taille de leur expérience (plus elle est longue …)

 

Parfois, ils font un lien avec ce qui va être vu durant la formation.

 

Nicolas, divorcé, en concubinage avec Céline

2 enfants,

Coach et formateur de formateur

20 d’expériences dans le domaine de l’informatique comme développeur, formateur, coach, 

J’ai réalisé plus de 50 applications et plus de 50 sites web

J’ai transformé la vie de plus de 1 000 personnes par de la formation et du coaching

a piloté des projets de 500 à 3000 jours hommes

A manager des équipes allant de 2 à 70 personnes. 

J’ai voyagé dans plus de 10 pays dont les US et  l’Inde. 

 

Fait remarquable : J’ai été chef d’entreprise et créer ou co-créer 6 entreprises.

QUESTION : Comment les apprenants perçoivent-ils ce type de présentation ?

 

C’est pas très attractif, cela ne donne pas toujours confiance. 

 

cela flatte l’égo du formateur et cela impressionne les stagiaires

 

mais ont ils les info qui les rassurent, qui les mettent en confiance et qui sont pret  à vous suivre ?

 

Non, il manque un ingrédient important dans cette présentation : Pourquoi fait-il ce qu’il fait ? Qu’est ce qu’il l’a amené là où il en est et pourquoi est-il ici maintenant devant nous ?

 

Et un des problèmes que l’on rencontre souvent, c’est que nous aimons pas trop exposer qui nous sommes. Nous sommes timides et / ou pensons que cela n’intéresse personne (je le pense parfois encore …)

 

Pourtant c’est ce qui fait la différence !

 

QUESTION : Est-ce que vous connaissez le Golden Circle de Simon Senek ? Et son livre, commencer par le pourquoi ?  

 

Si nous appliquons son enseignement, nous devons commencer par ce qui nous pousse à faire les choses, le pourquoi ?

Donc dans votre présentation auprès des apprenants, 

 

Commencer par votre pourquoi / votre motivation profonde de pourquoi vous êtes formateur et aussi plus particulièrement dans le domaine / thème de la formation du jour.

 

[Exemple] Céline et moi croyons sincèrement et profondément que la formation à distance est un vrai bénéfice pour nos affaires et qu’elle nous permet de faire des rencontres riches et passionnantes avec des personnes que nous n’aurions pu rencontrer lors de nos formations en présentiel. 

 

— Ensuite viens ce que nous faisons — 

 

C’est pourquoi, nous aidons les consultants, les coachs, les thérapeutes et les formateurs qui souhaitent partager leurs expériences et expertises au plus grand nombre tout en vivant là où ils le souhaitent.

 

— Puis comment nous le faisons. —

Nous les formons, coachons et accompagnons à l’usage du numérique et à l’animation de la classe virtuelle à distance depuis 2020.

Astuces : 

  • Histoire personne à la suite, 
  • un ou deux exemples de réussite ou de retour d’expérience 
  • Une anecdote
  • Un fait marquant
  • Un défaut avec un brin d’humour.

 

Qu’est-ce que vient faire le storytelling en formation ?

 

QUESTION : Est-ce que vous racontez souvent des histoires en formation ?  

Quand l’utiliser ? 

 

  • en début de formation, pour permettre aux participants de s’investir

identification au personnage principal, les participants veulent devenir comme lui ou elle, et du coup ont plus envie de travailler

 

  • pour changer de sujet, faire une transition. “Ok, on vient de voir comment faire pour… et ça tombe bien, parce que j’ai une petite histoire à vous raconter.” ça cré un lien avec la suite de la formation, et les participants comprennent mieux pourquoi on voit la notion qui suit 

 

  • pour faire la publicité de sa formation, d’ailleurs, le storytelling est beaucoup utilisé en pub ! 

 

Pourquoi l’utiliser ? 

 

QUESTION : Qu’est-ce que vous aimez dans les histoires ? 

 

  • marque les esprits, permet une meilleure mémorisation
  • touche à l’émotionnel
  • tout le monde aime les bonnes histoires
  • peut permettre de générer des débats, 
  • ludique
  • éducatif
  • permet d’engager les participants
  • capte l’attention
  • permet de casser un rythme (si vous venez de faire une activité super active par exemple)

 

Comment l’utiliser ? 

 

4 étapes clés :

 

  • 1ère étape : la situation initiale 

ici on plante le décor, on va décrire le ou les  personnages de l’histoire, ce qu’ils vivent, qui ils sont, ce qu’ils font etc. 

 

Par exemple, imaginons que j’anime une formation sur la construction de CV. Le début de l’histoire que je raconterai pourrait ressembler à ça :

 

“Je vais vous raconter l’histoire de Claire. Claire a ce qu’on appelle une vie bien rangée. Elle est mariée, maman de 3 enfants, elle travaille depuis 15 ans dans la même boîte. Elle aime son boulot, elle est aide comptable dans une usine de chocolaterie. En plus, elle a un super CE qui lui permet de profiter de supers prix sur les chocolats de l’usine, pour le plus grand bonheur de ses proches ! “

 

  • 2ème étape : l’élément perturbateur

 

On va créer une intrigue, un problème, on va bousculer la situation initiale

 

“Seulement voilà, depuis quelques années, le chiffre de l’entreprise n’est plus le même. Elle peine à faire des bénéfices, si bien qu’en 2018, l’entreprise doit mettre la clé sous la porte. La vie bien rangée de Claire prend un sacré tournant ! Elle se retrouve sans job, elle qui a toujours travaillé, et sur le marché du travail comme on dit. Elle essai de retrouver du travail, mais elle ne sait pas comment s’y prendre, et elle a le sentiment d’être un tout petit poisson dans un océan immense. Elle se sent perdue, elle regarde les annonces sur internet, y répond, mais n’a pas de réponses, ou alors des refus. Elle ne comprend pas pourquoi” 

 

  • 3ème étape : l’élément de résolution

On va trouver une solution à notre problème. On peut faire appel à un ami, ou notre personnage principal peut s’en sortir seul.

 

“Claire se dit qu’elle ne peut pas rester comme ça. Elle est cloitrée chez elle, et commence même à déprimer. Elle décide alors de se reprendre en mains. Elle en parle autour d’elle, à son mari, à sa famille, aux amis. Dominique lui raconte que pour trouver son job, il s’était fait accompagné. ça pique tout de suite la curiosité de Claire, qui se met à faire des recherches sur le sujet. Elle trouve un site qui explique l’importance de chaque étape, du mail de candidature, en passant par l’entretien, jusqu’au mail de relance. Elle comprend alors qu’elle ne fait pas les choses comme il faudrait, et qu’il faut qu’elle travaille là dessus ! Elle se renseigne également auprès de son conseillé pôle emploi, ravi des recherches de Claire. Celui ci l’inscrit à plusieurs formations pertinentes, qui permettront à Claire de savoir comment bien candidater à une offre d’emploi.”

 

  • 4ème étape : notre happy end !

On aime quand ça se termine bien ! 

 

“Claire a repris du poil de la bête. Elle a bien compris que pour trouver son job de rêve, il fallait qu’elle travaille sa préparation autrement. Aujourd’hui, Claire a trouvé un poste d’aide comptable dans une association de sport scolaire. Elle est devenue une nouvelle femme ! Son nouvel emploi du temps lui permet de prendre du temps pour sa passion, la couture. Si bien qu’elle est devenue la couturière officielle des spectacles de danse de la MJEP ! Claire se sent valorisée, bien dans ses baskets, et ne voudrait finalement pour rien au monde retourner à la chocolaterie !” 

 

QUESTION : Est-ce que vous vous voyez appliquer cette méthode en formation ?

Comment évaluer ses participants à distance ?

C’est quoi le problème avec l’éval en classe virtuelle ? 

 

  • en présentiel, je viens avec ma feuille quiz que je fais remplir à mes participants et ils s’autocorrige, ou je corrige, comment je peux reproduire ? 
  • j’envoie un docs ou un pdf à mon stagiaire, il ne peut pas tjs imprimer, c’est peut être compliqué pour lui de l’ouvrir, le remplir, l’enregistrer, le retourner, 
  • les gens ne le renvoient pas tjs et nous formateurs on est obligé de courir après
  • si je fais mon quiz à l’oral, ça devient vite le bordel, tout le monde parle en meme temps, tjs les meme qui répondent, je suis obligée d’interroger, pas facile de noter en même temps qui répond à quoi
  • bref, je m’épuise à construire des quiz que je dois corriger, courir après les réponses, ça m’épuise, ça m’énerve, je perds du temps, et avec la distance, je ne sais pas quel outil utiliser

 

et vous, comment vous ressentez les éval avec vos apprenants ? + Replay

 

Il y a plusieurs façon d”évaluer

 

la question est de savoir quel type d’éval vous faites ? 

 

Différence entre savoir et savoir faire, c’est de là qu’on va déterminer le type d’éval qu’on va faire.

 

Il y a des formateurs enseignants qui forment plus au savoir comme par ex les formateurs d’anglais en CFA, et des formateurs formateurs qui forment plus au savoir faire comme par des formateurs prothésiste ongulaire ou là on apprend une méthode. 

 

Aujourd’hui, on va voir ensemble comment évaluer sur les savoirs, on fera les évals sur savoir faire dans un autre live ou dans l’une de nos vidéos.

 

ça va dépendre aussi de si on a besoin d’une éval nominative ou pas, auquel cas on ne fera pas forcément la meme éval

 

  1. Le format et le contenu

 

quiz individuel : Microsoft ou google forms avec l’option questionnaire

c’est quoi les 2 outils

c’est quoi l’option formulaire

 

un des avantage c’est que ça revoit vers un fichier exel

 

on peut aussi créer un drive, qu’on va partager à nos participants, comme ça ils peuvent venir mettre leurs docs dans le drive

 

quiz collectif :

tu crée des sous groupes de 4 maxi

et tu crées un génially de type escape game 

donner l’exemple du genially avec un super héro qui doit répondre correctement à des questions pour obtenir un code à 4 chiffres

 

Jéopardy

Jeux de l’oie

Pendu

Mot croisé 

rébus 

faire faire une rédaction de groupe avec un google docs

Comment améliorer sa communication de formateur au sein d’un groupe ?

Aujourd’hui, on vous parle process com. Comment l’utiliser, nous formateurs, pour améliorer nos rapports à l’autre, et plus précisément à nos participants

 

  1. Qu’est ce que c’est ?

 

à l’origine, c’est Taibi Kahler, 

  • docteur en psychologie,
  • américain
  •  dans les années 70, 
  • il observe pendant plusieurs années les managers dans les entreprises américaines, mais surtout, il va regarder comment ces managers communiquent avec les autres.
  • il en arrive à la conclusion : 

que toute population peut être divisée en six types de personnalité différents et qu’en modifiant son propre style et technique de communication en fonction des personnalités de ceux qui écoutent, on peut devenir un communicateur beaucoup plus efficace

  • c’est quelque chose de puissant, aujourd’hui, on a des experts en process com, et des formations certifiantes à la process com
  • elle est utilisée par exemple par la NASA, pour recruter ses astronautes 

 

quand on sait que 93% de ce que nous retenons d’un message vient des signaux non verbaux comme la voix, le ton, les attitudes, les gestes ou expressions du visage, et seulement 7% provient des mots, nous mesurons l’intérêt à connaitre les codes et les signaux émis par les autres mais aussi par soit-mêmes.

La Process Com sert tout simplement à entrer en communication avec les autres en se mettant en phase non seulement avec ce qu’il dit, mais aussi avec ce qu’il ressent et ce qu’il croit. 

En Process Comm, on s’attarde davantage sur comment dire que sur quoi dire.

 

  1. les 6 types de personnalités 

 

on va voir ensemble les personnalités qui existent, mais surtout comment on peut les reconnaître, et comment on s’adapte à eux. 

 

QUESTION : Avez vous déjà eu le sentiment de pas être du tout, mais alors du tout en phase avec la personne en face de vous ?  …

 

 !! REPLAY !! Oui – Non

 

  • pas de personnalité meilleure que d’autre, elles sont toutes complémentaires, il faut de tout pour faire un monde ! 

 

L’empathique

En Amérique du Nord, 30% de la population serait de base empathique. 

  • chaleureux, sensible, 
  • attentif aux autres et inspire confiance, 
  • Il connait toutes les petites histoires du service et sait créer de l’harmonie, 
  • Une relation chaleureuse et conviviale est la condition nécessaire de sa motivation dans l’équipe, 
  • Il perçoit les situations à travers le filtre de ses émotions, 
  • Il fonctionne au feeling, c’est comme ça que je le ressens, 
  • C’est en général quelqu’un qui a une grande qualité d’écoute, 
  • Il a besoin d’un style de relation bienveillant, 
  • Il demande à ce que l’on valorise sa personne et non ses résultats, 
  • Il aime être entouré, touché, sentir, entendre, avoir une déco personnalisée ou des photos de famille sur son bureau.

 

Pour stimuler votre écoute et votre intérêt votre interlocuteur choisira un mode de communication chaleureux et bienveillant. C’est également sur ce mode nourricier que vous communiquez naturellement.

 

Pour vous sentir efficace et bien avec vous-même vous avez besoin d’être reconnu(e) en tant que personne et dans un environnement agréable. La satisfaction de vos besoins sensoriels est très importante pour vous.

 

Sous stress, dans un échange, vous avez d’abord tendance à minimiser ce qui vient de vous et faire passer l’autre en priorité. Vous pouvez alors accepter des situations qui ne vous conviennent pas et manquer de fermeté dans vos décisions.

 

Sous stress plus profond vous aurez probablement tendance à faire des erreurs grossières qui risquent de provoquer l’hostilité de votre entourage.

 

Il vous faut retrouver votre confiance en vous afin de revenir à votre état d’efficacité naturelle.

 

Vous êtes apprécié(e) pour :

 

  • Votre chaleur humaine qui vous permet de développer des relations intimes avec votre entourage. Vous aimez bien recevoir vos amis chez vous.
  • Votre compassion pour autrui et votre faculté d’écoute de l’autre. Une écoute active par laquelle vous montrez que vous comprenez bien ce que votre interlocuteur ressent.
  • Votre sensibilité qui vous permet de ressentir les ambiances et les humeurs en utilisant chacun de vos cinq sens.

 

est-ce que ça vous parle ? est ce que vous reconnaissez des personnalité comme celle là ? 

 

le travaillomane

En Amérique du Nord, 25% de la population serait de base travaillomane. 

 

  • Il est logique, rationnel, responsable et organisé, 
  • Il fonctionne par étapes, soucieux d’avoir des directives claires et des échéances, 
  • Avec son sens de l’organisation, il rappelle le timing et l’ordre du jour en réunion, 
  • Il a à cœur d’atteindre ses objectifs, c’est sa motivation n°1, 
  • Il recherche des faits, des chiffres, des information techniques, 
  • Il excelle dans les travaux qui exigent de l’analyse et/ou de la synthèse, des tableaux, des compte-rendu, 
  • Il pense avant d’agir, 
  • Il a besoin d’un style de relation démocratique, participatif, 
  • Il préfère une communication basée sur l’échange d’informations, 
  • Il n’aime pas l’imprévu, l’improvisation, 
  • Il veut être reconnu sur sa capacité à bien réfléchir, à bien réaliser et à soigner les détails.

 

Organisé(e), responsable et logique

  

Pour stimuler votre écoute et votre intérêt votre interlocuteur choisira un mode de communication factuel. C’est également par des questions et des interrogations qu’il communiquera le mieux avec vous.

 

Pour vous sentir efficace et bien avec vous-même vous avez besoin d’être reconnu(e) pour votre travail. Vous avez aussi besoin que les choses soient organisées et inscrites dans le temps.

 

 

Sous stress, dans un échange, vous avez tendance à d’abord surdétailler votre discours, à ouvrir de multiples parenthèses,  pensant vous rendre ainsi plus clair(e). Si le stress augmente, vous aurez alors tendance à reprendre à votre charge tout ce que vous aviez délégué afin de le contrôler jusque dans les moindres détails.

 

Il vous faut retrouver votre logique initiale ou votre structure afin de revenir à votre efficacité naturelle.

 

Vous êtes apprécié(e) pour : 

 

  • Vos qualités d’organisation qui vous permettent de planifier de façon très exhaustive toutes les étapes d’une tâche à entreprendre.
  • Votre logique qui vous permet de trouver la structure d’une idée et de la clarifier rapidement pour les autres.

 

Le rêveur

 

En Amérique du Nord, 10% de la population serait de base rêveur. 

 

  • Il est calme et tranquille, 
  • Il est doué d’un fort pouvoir de concentration, d’imagination, d’introspection, et a besoin de motivation extérieure pour entrer en actions, sans directives, il peut rester dans l’inaction, 
  • Silencieux et capable de supporter les silences des autres, il est un atout en négociation, 
  • Il a la patience de rechercher les erreurs dans un dossier touffu. On peut aussi lui donner des taches abstraites, maniement de chiffre, compilation, problèmes complexes, 
  • Il a besoin de directives claires, brèves, et précises et apprécie d’avoir le temps d’y réfléchir pour agir efficacement, 
  • Il a besoin d’un style de relation autocratique, directif.

Calme, imaginatif(ve) et réfléchi(e)

 

Pour stimuler votre écoute et votre intérêt votre interlocuteur choisira un mode de communication clair et directif.  

 

Vous émettez peu de signaux en retour. Vous répondez, en prenant le temps de la réflexion si on vous le demande directement. Vous aimez alors que l’on attache de l’importance à ce que vous avez dit.

 

Pour vous sentir efficace et bien avec vous-même vous avez besoin de solitude, d’un lieu tranquille pour recharger vos batteries et n’hésitez pas à vous « échapper » par moment au cours de discussions ou de réunions trop longues.

 

Sous stress, dans un échange, vous avez tendance à d’abord vous retirer en vous-même. Puis si le stress augmente vous pouvez aller jusqu’à vous retirer physiquement. 

Il vous faut un moment de retrait afin de revenir à votre efficacité naturelle. 

 

Vous êtes apprécié(e) pour : 

  • Votre calme qui vous permet quelle que soit la gravité d’une situation de rester d’humeur égale et de garder à l’esprit les différentes hypothèses ou solutions possibles.
  • Vos qualités d’introspection qui font de vous un(e) observateur(trice) très compétent(e) de vos semblables. A la recherche de vous-même vous avez appris à ne pas juger autrui trop vite.
  • Votre imagination qui vous permet d’explorer toutes les hypothèses ou les options qui s’offrent à vous et de les démultiplier à l’infini.

 

Le promoteur

 

En Amérique du Nord, 5% de la population serait promoteur. 

 

  • Il aime les défis, la nouveauté, les résultats immédiats, 
  • Bourré de ressources, adaptable, il adore les challenges et les empoigne pour gagner
  • Il va vers la prise de risque sur des projets ambitieux. C’est le défricheur idéal, d’un nouveau sujet, d’un nouveau marché, d’un nouveau pays.
  • Persuasif, il peut réveiller l’équipe et l’entraîner, 
  • Il agit en fonction de ses intuitions et s’adapte selon les résultats, 
  • Il a une grande capacité d’adaptation , certains le comparent à un caméléon, 
  • Il n’aime pas le reporting et la participation à de longues réunions basées sur les échanges d’idées, ou la transmission d’informations, 
  • C’est un solitaire et un fonceur, 
  • Il a besoin d’un style de relation autocratique, directif. On lui fixe un défi et il fonce.

Charmeur(euse), adaptable et plein(e) de ressources

 

Pour stimuler votre écoute et votre intérêt votre interlocuteur choisira un mode de communication puissant et impératif.

Vous communiquez naturellement sur ce mode directif.

Pour vous sentir efficace et bien avec vous-même vous avez besoin d’excitation, de défis. Vous aimez particulièrement les situations à très haut niveau d’énergie.

 

Sous stress, dans un échange, vous  avez d’abord tendance à vous impatienter et à trouver votre interlocuteur trop faible. Puis si le stress augmente vous aurez tendance à prendre des risques exagérés pour votre santé, votre situation, vos affaires. Vous avez alors  probablement tendance à manipuler les autres pour arriver à vos fins.

Il vous faut retrouver ce qui vous motive et qui est excitant dans l’échange afin de revenir à votre état d’efficacité naturelle.

 

Vous êtes apprécié(e) pour : 

  • Votre charme qui vient à la fois de votre manière directe de communiquer et de votre sens du compliment qui fait mouche. Même si vous êtes parfois maladroit(e), vous êtes un compagnon(gne) recherché(e) et apprécié(e).
  • Vos ressources paraissent intarissables et vous permettent de vous relever quels que soient la «tuile» ou le coup dur qui vous sont arrivés (ou que vous avez provoqués). Vous rebondissez toujours.
  • Votre sens de l’adaptation qui vous permet d’intégrer rapidement un nouveau contexte si différent soit-il du précédent. Vous aimez et recherchez le changement.

 

Le rebelle

 

En Amérique du Nord, 20 % de la population serait rebelle. 

 

  • Il est créatif, spontané, ludique et aux aguets de la nouveauté, il a soif de rencontres et de brainstormings,
  • Il aime plaisanter en travaillant, 
  • Il circule dans les couloirs, raconte la blague du jour, zappe d’une tâche à l’autre, adore animer les réunions et noircir les paperboards. Un bout-en-train, apte à détendre l’atmosphère mais qui a tendance, au moindre pépin, à rejeter la faute sur les autres.
  • Il réagit à ce qu’il ressent, il aime ou déteste, il a envie ou pas envie, 
  • Sa motivation est en grande partie lée à la qualité de la relation avec les autres et tous ses collègues, 
  • Il a besoin d’un environnement stimulant et ludique où il peut exprimer librement sa créativité, 
  • Il a besoin d’un style de relation laisser faire.

spontané(e), créatif(ve) et ludique 

 

Pour stimuler votre écoute et votre intérêt votre interlocuteur choisira un mode de communication énergique et réactif.

C’est également sur ce mode ludique et émotif que vous communiquez naturellement.

 

Pour vous sentir efficace et bien avec vous-même vous avez besoin de contacts, c’est-à-dire de stimulations variées de la part de votre entourage.

 

Sous stress, dans un échange, vous avez d’abord tendance à «ramer», à ne plus comprendre ce que vous explique votre interlocuteur. Tout vous semble ennuyeux et compliqué. Vous pouvez alors avoir tendance à rejeter la responsabilité sur les autres et à faire preuve de mauvaise foi caractérisée. 

Il vous faut retrouver un contact  avec autrui, souvent par le jeu ou le rire afin de revenir à votre état d’efficacité naturelle.

 

Vous êtes apprécié(e) pour : 

  • Votre créativité qui vous permet de trouver une solution là où les autres ne voyaient que des problèmes.
  • Votre sens ludique qui vous permet de transformer une tâche ingrate en un jeu.
  • Votre spontanéité qui génère une énergie positive et souvent « décoiffante »  dans vos contacts avec autrui.

 

 

 Le persévérant

 

En Amérique du Nord, 10 % de la population serait persévérant. 

 

  • C’est une femme ou un homme de conviction, 
  • Très engagé, observateur, consciencieux, il réclame de l’écoute car il a de fortes convictions, sinon, il prendra la parole et ne la lâchera pas, 
  • Loyal, il défend les valeurs de l’équipe et se défonce pour ses collègues malmenés, 

Pour lui, ce qu’il croit juste est la vérité. Du coup, il argumentera très bien un dossier devant la direction, 

Il a envie d’être connu autant pour son investissement, temps passé, finitions, originalité que pour la qualité de son travail, 

Il est consciencieux, veut aller au bout de ce qu’il entreprend, 

Il perçoit la situation à travers le filtre de ses opinions, 

Lui demander son avis est particulièrement important, il agit d’autant plus efficacement qu’il croit à la décision prise, 

Il a besoin d’un style de relation bienveillant. 

consciencieux(se), dévoué(e), observateur(trice)

 

Pour stimuler votre écoute et votre intérêt votre interlocuteur choisira un mode de communication basé sur les opinions.

C’est également par des questions ou des interrogations qu’il communiquera le mieux avec vous.

 

Pour vous sentir efficace et bien avec vous-même vous avez besoin d’être reconnu(e) pour votre travail  et pour vos convictions.

 

Sous stress, dans un échange, vous avez d’abord tendance à  relever chez autrui ce qui ne va pas, puis si le stress augmente, vous aurez probablement tendance à devenir cassant(e), à ne plus écouter les autres, et à chercher à imposer votre point de vue.

Il vous faut retrouver votre confiance en votre interlocuteur pour revenir à votre efficacité naturelle. 

 

 

Vous êtes apprécié(e) pour : 

  • Vos qualités d’observation qui vous permettent d’évaluer avec une certaine acuité une situation, une personne ou une idée.
  • Votre conscience professionnelle (et personnelle) qui vous permet de développer une morale à laquelle vous êtes attaché(e) et qui fait souvent l’admiration de votre entourage.
  • Votre sens du dévouement que l’on constate sans mal devant votre ténacité à respecter un idéal, un principe, une valeur, un engagement jusqu’au bout.

Comment gérer des tensions entre plusieurs personnes en formation à distance ?

 

  1. Effet – Impact des conflits 

 

Tension versus conflit ? 

 

QUESTION : Avez vous déja eu des tensions avec un apprenant  ou à gérer des tensions/conflits entre les apprenants ?

 

 !! REPLAY !!

 

  1. Les phases des conflits

 

Phase de désaccord

 

Phase de tension.

 

Phase de blocage.

 

Phase d’éclatement.

 

La solution

 

QUESTION : Avez vous déjà eu à gérer la phase de blocage en classe virtuelle ou en formation en présentielle ?

 

 !! REPLAY !! Oui – Non

 

  1. Entre qui ?

 

Entre apprenants :

  1. Des personnes qui se connaissent.
  2. Des personnes qui se connaissent et sont comme en “présentiel”
  3. Des personnes qui se découvrent

 

Le formateur avec un ou plusieurs apprenants

 

QUESTION : Avez vous déja eu des tensions avec un apprenant  ou à gérer des tensions/conflits entre les apprenants ?

 

 !! REPLAY !!

 

 

 

  1. Les origines des conflit

 

  1. des malentendus ou des perceptions erronées

 

  1. Un désaccord qui traîne et qui n’est toujours pas traité.

 

  1. conflit d’intérêts.

 

  1. Des valeurs ou des croyances différentes.

 

  1. Des difficultés intra-personnelles.

 

  1. Une incompatibilité de caractères.

 

  1. De pouvoir / espace.

 

QUESTION : Lequel rencontrez vous le plus souvent   ?

 

 !! REPLAY !!

 

  1. Les tensions et les conflits naissent de

 

  1. Les apports théoriques plus ou moins long
  2. La compréhension
  3. La vitesse d’apprentissage
  4. L’aisance de manipulation des outils informatiques
  5. Les problèmes techniques
  6. Les relations intra et inter personnelles
  7. Le mode de communication

 

QUESTION : Quelle source rencontrez-vous le plus souvent   ?

 

 !! REPLAY !!

 

  1. Les solutions

 

En sous-groupe

En 1 – 1

9 erreurs à ne pas faire lorsque tu utilises les IceBreakers pour démarrer ta formation

Le jeu brise-glace en soit est une bonne idée, comme dit un peu plus haut, ça peut être une belle expérience autant pour le participant que pour le formateur. 

 

  1. Le problème avec les ice-breakers utilisés

 

Tout le monde veut utiliser des icebreakers, mais qu’en est il réellement dans la réalité ? 

 

  1. Orienté pour le plaisir du formateur

Effet :  Le choix est pour que le formateur y trouve du plaisir en pensant que ces apprenants

Exemple : 

Anecdote : 

 

  1. Trop ludique, cela s’apparente plus à un jeu qu’à un moment de découverte.

Effet : 

Exemple : 

Anecdote : 

 

QUESTION : Le nom d’un IceBreaker que vous trouvez trop ludique

 

  1. Souvent les mêmes.

Effet : Les apprenants sont de plus en plus habitués mais rencontrent toujours les mêmes … 

Deviens lassant

 

Exemple : jeu de balle, présentation croisé,  …

 

QUESTION : celui que vous utilisez le plus souvent ?

 

  1. Éloigné du thème ou des objectifs pédagogiques.

Effet : … 

Exemple : 

Anecdote : 

 

  1. Pas dans le bon timing.

Effet : … 

Exemple : 

Anecdote : 

QUESTION : A quel moment  ?

 

  1. Pas adapter pour l’espace / salle de formation.

Effet : … 

Exemple : 

Anecdote : 

 

  1. Absence de débriefing

Effet : … 

Exemple : 

Anecdote : 

QUESTION : Vous faites des débriefing  ?

 

  1. Confondre un Warm-up et Icebreaker

 

ice breaker est fait pour connecter les participants, le warm-up est fait pour les mettre en dynamique. C’est un petit exercice qui va permettre de « calibrer » le cerveau en mode apprentissage. 

 

Effet : … 

Exemple : 

Anecdote : 

 

  1. Aller trop loin….

Comment construire et donner de la valeur au livret d’apprentissage ?

On adore les livrets, si bien qu’ils sont devenus automatiques ! Une formation, un livret ! 

Tiens, on va commencer par un petit état des lieux : 

 

QUESTION : 

  • « Est-ce qu’on t’a déjà demandé : il faut noter là ce que vous dites ? 
  • Est-ce qu’on va avoir un support ? 
  • Votre présentation, est-ce que vous allez nous en donner une copie ? 

Et bien sûr, le : Ha mince, attendez, j’ai pas de quoi noter qui va avec “

Oui ou non – Replay aussi

  1. la participant débordé

 

Ton participant peut vite être débordé, il doit : 

  • écouter
  • prendre des notes
  • lire
  • répondre à la question
  • regarder la vidéo
  • changer l’écran
  • aller coller des post it etc

 

Certains participants peuvent se sentir largué, être découragé, ou se lasser, c’est normal.

 

Du coup, qu’est-ce qu’on fait ? 

 

On va les aider, les épauler, les prendre par la main pour les encourager, et c’est là qu’intervient le livret !

 

  1. Quels sont les différents livrets que l’on peut construire ?

Avant de te parler de ce que contient un livret, …

5 types de livrets

 

1 – Le livret – Copier / coller de ses slides

2 – Le livret d’exercice

3 – Le livret de contenu style ‘livre’

4 – Le livret de prise de note

5 – Le livret support

 

QUESTION : Indiquez le type de livret que vous mettez à dispo à vos apprenants : 1..2..3..4..5

  1. Comment on construit son livret quand on débute ?

 

1 – le livret va reprendre les titres de vos slides :

 

  • pour que le participant ait des repères
  • on peut même aller plus loin en notant sur les slides les pages du livret qui y correspondent
  • et on peut aussi reprendre des visuels, avec les mêmes images sur les slides que sur le livret
  • le livret va suivre la formation, il va être construit dans le même ordre que vos slides

 

QUESTION : est ce qu’on vous a convaincu de faire des livrets ? 

  1. Qu’est-ce qu’on met dedans ?

 

  • des zones de notes (par ex vous prévoyez de visionner une vidéo, du coup vous créez une zone de note spécifique)
  • des zones de notes libres (parce que certains participants aiment bien écrire)
  • des ateliers ( vous pouvez y mettre vos textes à lire, vos textes à trous, vos rébus etc)

 

Bonus 1 : En créant ton livret sur google docs par ex, tu vas pouvoir y intégrer les liens vers les sites que tu utilises, par ex si tu fais un atelier post it sur padlet, tu mets le lien direct sur le livret, et tu indiques la page dans ta slide

 

Bonus 2 : Pour ceux qui aiment écrire, ils peuvent tout à fait télécharger le google docs en version word, et l’imprimer ! La seule chose, fait bien attention quand tu partages ton livret que ce soit en version lecture, sinon tu vas te retrouver avec les notes de tout le monde sur ta trame. 

 

Bonus 3 : Livret collaboratif

  1. Pour conclure

 

Le livret va permettre à ton participant de : 

  • se repérer dans ta formation
  • d’avoir plus d’autonomie
  • d’avoir un support d’apprentissage bien à lui
  • de garder une trace visuelle de ce que vous avez vu dans le formation

Comment mettre fin à la fatigue Zoom ?

« Comment puis-je rendre l’expérience de l’apprenant plus adaptée à son cerveau ? »

Comment puis-je augmenter la connexion et la collaboration entre les apprenants pour favoriser le sentiment d’une communauté d’apprentissage ? ».

 

Jusqu’à présent, j’ai utilisé les pratiques et recommandations actuelles pour une conception pédagogique virtuelle centrée sur l’apprenant. 

 

Des exemples : J’ai inclus de nombreuses interactions de groupe centrées sur le sujet. 

 

J’ai divisé une classe de deux jours en personne en une série de sessions virtuelles plus courtes de deux heures, avec des devoirs indépendants entre les sessions. 

 

En outre, j’ai utilisé autant d’options que possible pour ajouter des mouvements physiques aux activités et j’ai prévu des pauses bien programmées.

 

Un aspect que je n’ai pas pris en compte est l’expérience épuisante pour les yeux, le cerveau et le système nerveux des humains apprenant ensemble par vidéoconférence. Dans ma quête pour favoriser les liens au sein du groupe, j’ai supposé que les apprenants se sentiraient plus connectés les uns aux autres s’ils pouvaient voir les expressions et le langage corporel de chacun sur la caméra pendant tout le temps. Je connaissais les avantages d’avoir des caméras allumées tout au long de la classe ; cependant, je n’avais pas réalisé que cette approche « tout le monde est là » pouvait avoir quelques inconvénients.

 

QUESTION : « Je suis juste tellement fatiguée », avez vous déjà ressentie cette fatigue en formation à distance / classe virtuelle ?

 

  1. la fatigue “Zoom”

 

Dès avril 2020, un certain nombre d’articles et de discussions sur la fatigue de Zoom ont commencé à remplir les fils des médias sociaux. 

 

En visant la connexion et l’interactivité, les formateurs de classes virtuelles (nous y compris) surchargent les sens des apprenants. 

 

Le facteur de connexion s’en trouvait diminué, tout comme la rétention du contenu par les apprenants.

 

  1. Les 9 facteurs de la fatigue Zoom

 

facteur 1 / 9  : La disposition et affichage des participants

 

La vue en galerie, où tous les participants à la réunion apparaissent à la manière de Brady Bunch, met à l’épreuve la vision centrale du cerveau, l’obligeant à décoder tant de personnes à la fois que personne n’apparaît de manière significative, pas même l’orateur.

 

facteur 2 / 9  : Paraître intéresser

 

Les gens ont l’impression qu’ils doivent faire plus d’efforts émotionnels pour paraître intéressés, et en l’absence de nombreux signaux non verbaux, la concentration intense sur les mots et le contact visuel soutenu est épuisante.

 

Les réunions en ligne augmentent notre charge cognitive, car plusieurs de leurs caractéristiques mobilisent une grande partie de notre capacité consciente.

 

le seul moyen de montrer que l’on est attentif est de regarder la caméra. Mais, dans la vie réelle, 

 

combien de fois vous tenez-vous à moins d’un mètre d’un collègue et fixez-vous son visage ? 

 

Probablement jamais.

 

facteur 3 / 9  : Sa propre image 

L’importance accrue accordée aux indices faciaux et à la capacité de se voir soi-même peut également agir comme un facteur de stress. 

 

La visualisation de nos propres expressions faciales négatives, comme la colère et le dégoût, peut entraîner des émotions plus intenses que la visualisation d’expressions faciales similaires chez les autres.

 

Sans compter que la plupart d’entre nous regardons notre images, 

Et d’y découvrir une imperfection, et de se demander comment elle va être interprétée par les autres participants. 

 

Avoir des têtes géantes qui nous regardent de près pendant de longues périodes peut être rebutant pour beaucoup d’entre nous.

 

facteur 4 / 9 : La communication non-verbale

 

Une grande partie de notre communication passe par le non-verbal : Nos sentiments et nos attitudes par des expressions faciales, le ton et la hauteur de la voix, les gestes, la posture et la distance entre les personnes.

 

En présentiel, nous traitons ces signaux de manière largement automatique et nous pouvons toujours écouter notre interlocuteur en même temps. 

 

En revanche, lors d’un chat vidéo, nous devons redoubler d’efforts pour traiter les signaux non verbaux. Accorder une plus grande attention à ces derniers ce qui consomme beaucoup plus d’énergie !

 

facteur 5 / 9 : Le silence 

 

Écoutez-vous ou êtes-vous figé ?

 

Le silence dans une conversation de la vie réelle est important et crée un rythme naturel. Mais devant la webcam, le silence peut vous rendre anxieux. 

 

Un retard de 1 à 2 secondes dans la réponse à votre question augment votre perception de l’autre comme moins amicale ou moins concentrée.

 

la technologie nous fait prendre du retard dans nos conversations, et nous devons donc être très attentifs à ne pas parler par-dessus l’autre

²

En outre, la frustration liée au fait que les gens allument et éteignent leur micro, les connexions qui traînent et les bruits de fond font que la formation à distance est rarement aussi fluide qu’en présentiel.

 

facteur 6 / 9 : Le stress de partager son chez-soi et de l’interruption de l’un de ses proches

 

Nous sommes anxieux à propos de notre espace de travail à distance et des événements qui pourraient nous faire mal paraître aux yeux de nos collègues. Est-ce que mon fond Zoom va soudainement faire défaut, laissant mes tendances à l’accumulation en pleine lumière ?

 

Nous ne nous contentons pas de participer à la classe virtuelle. Nous devons aussi trouver continuellement de nouvelles façons polies de demander à nos proches de ne pas nous déranger, ou de les ignorer lorsqu’ils rampent sur le sol pour attraper leurs écouteurs sur la table à manger. Pour ceux qui ne disposent pas d’un espace privé pour travailler

 

c’est particulièrement difficile

 

facteur 7 / 9 : L’absence de pause entre activité

 

Nous prenons un café et le simple fait de se déplacer dans une autre pièce est énergisant. Mais à la maison, il se peut que nous ne fassions que travailler sur une tâche et que nous nous rendions à notre formation via Zoom, souvent sans faire de pause.

 

facteur 8 / 9 : L’absence de mouvement / la marche

 

 

De plus, la marche est connue pour améliorer la créativité, ce qui souligne l’importance des discussions en marchant. Nous pouvons nous déplacer pendant formation en présentiel,  Mais qu’en est-il lors des formations à distance, assis devant son ordinateur et sa webcam ?.

 

facteur 9 / 9 : Le “multitasking” / multitâche

« Nous sommes engagés dans de nombreuses activités, mais nous ne nous consacrons jamais entièrement à quelque chose en particulier ». 

 

Nous devons nous concentrer sur plusieurs visages à l’écran, 

ainsi que sur des messages de chat, 

potentiellement un tableau blanc, 

et des signaux non verbaux tels que des personnes qui mettent en sourdine, éteignent leur appareil photo, des bruits de fond, etc. 

 

Le multitâche est également épuisant, stressant et peut entraîner une fatigue de l’attention dirigée.

 

QUESTION : Quels facteurs te semblent difficiles à diminuer dans ta classe virtuelle ?

  1. Comment faire pour diminuer son effet ?

Sans les pauses visuelles dont nous avons besoin, notre cerveau se fatigue.

 

ne désespérez pas. Nous avons un conseil fondés sur la recherche qui peut vous aider à rendre votre formation à distance moins épuisante.

 

Introduisez des activités sans caméra et amener ses apprenants à marcher…

 

Activités de dessin liées au sujet : 

Comme les images aident à mieux retenir le contenu, invitez vos apprenants à utiliser un marqueur/stylo et des fiches ou des post-it pour gribouiller une image,un dessin qui représente un aspect de ce qu’ils apprennent. 

 

Invitez-les à éteindre la webcam pendant qu’ils le font. 

 

Ensuite, demandez-leur d’allumer leur webcam et de partager leurs dessins, s’ils le souhaitent, en les présentant à la caméra. Si le temps le permet, ils peuvent également expliquer leurs images au groupe.

 

Bonus 1 : Notre astuce pour des formations sur la journée : 

une pause toutes les 55 min de 5 min 

Et une pause plus longue de 15 minutes lors de la deuxième séquences de 1 heure. 

Une pause de 1H30 pour le déjeuner

55 min, Pause, 55 min Pause plus longue, 55 Min, Pause DEJ, 55 min, Pause, 55 min, Pause plus longue, 55 min.

Bonus 2 : avec un challenge de ramener un objet.

Comment engager ses participants en classe virtuelle vol. 2 ?

  • Atelier 1 : en début de formation  
    • pour faire les présentations, tu peux faire un low-tech social network :
      • pour commencer : tu indique au groupe que vous allez créer un réseau social, et on va créer l’élément principal : qui vous êtes. 

Pour ça, chaque personne doit se créer un profil sous forme de carte, avec un avatar, et laisser de la place en dessous pour le nom. Pour les avatars, on peut faire faire des dessins, ou aller chercher des images, ou utiliser des sites comme Pick a face ou encore Bitmoji. !! tout doit se passer sur une seule page (tu peux utiliser jamboard si ton groupe est petit, ou mural ou miro si tu as un grand groupe)

  • Maintenant que les cartes sont créées, vous pouvez demander à vos participants de mettre 2 mots qui représentent qui ils sont, ou ce qu’ils sont venu chercher dans la formation
  • Une fois que tout le monde est prêt, on va créer des liens : on demande à chaque participant de faire un trait entre sa carte et celle d’un autre participant, et de noter à côté du trait “est ami avec”, “travail avec”, “fait du ping pong avec” 
  • NB : si les participants ne se connaissent pas, on peut leur demander de tchatter en conversation privée pour trouver des points communs !

 

  • atelier 2 et 3 : en cours de formation 
    • 1er exemple : quand on fait visionner une vidéo
      • Le souci avec les vidéos, c’est qu’on les oublie aussi vite qu’on les a lancé. Si je vous demande quelle était la dernière vidéo que vous avez vu en tant que stagiaire ? Du coup, faut faire faire quelque chose en même temps. Comme par exemple, faire remplir un tableau : J’aime / J’aime pas / la bonne idée 

 

  • 2ème exemple : la cadène jeux cadre Thiagi : créer des sous groupe, et diviser un texte en autant de sous groupe. Chaque sous groupe devra lire le texte, et faire un cours aux autres. 
  • Atelier 4 : en fin de formation
    • faire construire un quiz par les participants : tu fais des sous groupes, et chaque sous groupe construit 3 questions en rapport à la formation. Elles peuvent être simple ou compliquée. Tu peux même faire ça en mode challenge, avec un enjeu, comme par exemple : celui qui gagne a le droit de choisir la musique de pause

Comment engager ses participants en classe virtuelle vol.1 ?

    • qu’est-ce qu’une bonne présentation ? 
      • plus d’images que de mots – sinon le participant va lire les slides au lieu d’écouter
      • considérer sa présentation comme un fil rouge, un moyen de se repérer plutôt que comme une source d’informations
      • les couleurs : on aime les couleurs, mais il n’en faut pas trop sinon carnaval, on peut utiliser un cercle chromatique 
      • si vous avez des activités, ne pas hésiter à mettre les consignes sur vos slides
      • nous on aime bien mettre les temps, par ex 5 min pour indiquer dans le tchat….
      • varier les supports dans le support, mettre des vidéos, des textes à lire
    • les outils
      • genially
      • google slide
      • powerpoint
      • ahaslides
      • canva
      • powtoon

5 erreurs que font les formateurs en classe virtuelle qui amènent un désengagement

  • comment on détecte qu’il y a un manque d’engagement (cam fermées, questions sans réponses, rythme raplapla ou en baisse, pas de retour des participants)

 

  • effet : frustrant, on met de l’énergie plein, on rame, on est crevé à la fin de la session, on se sent nul
    • poser la question : si j’étais dans votre tête, qu’est ce que j’entendrais quand vous vous apercevez que vos stagiaires sont peu engagés ? Vos réponses en com

 

  • transition : dans certains cas, on peut même se demander si c’est pas la faute des stagiaires ? On entend “ils n’ont pas envie d’apprendre”, “ils sont obligés d’être là”

 

  • du coup, on se demande quelles sont les pratiques qui amènent peu d’engagement ? 
    • pour le formateur : 
      • passage de slides, pas toujours harmonieuses, monologue, ça endort, c’est long
      • pas de transposition des activités pratiques du coup on les supprime et on comble en parlant ou en posant des questions, que du théorique
      • le choix des questions (soit réponse trop évidente, soit trop compliquée), 
      • trop d’activités longues et à faire en solo pour le stagiaire
      • l’état d’esprit, on est des humains, le formateur qui souffle, qui râle, pour qui la visio est vécu comme une corvée transmettra ça, le temps d’échange qui n’est pas bien réparti, c’est le formateur qui parle le plus pour donner le plus de contenu
      • poser une question : que faites vous quand vous sentez que votre public n’est pas ou plus engagé ? 

 

les facteurs aggravants : 

 

  • pour le stagiaire : environnement de la cv à la maison (+ de liberté, pas contexte pro), au bureau (sollicitations)

Comment bien commencer sa classe virtuelle ?

  • pourquoi c’est important
  • accueil : Bonjour prénom
  • une ?, une activité d’attente
  • ta phrase de transition
  • les règles de bonne conduite
  • le titre de la formation
  • le déroulé
  • les présentations
  • test des outils qu’on va utiliser

 

nos astuces supplémentaires : 

1)      Propose une séance préliminaire de 45 min pour se familiariser avec les outils 

2) Crée un groupe Whatsapp pour que tes participants échangent, travaillent ou chattent pendant et après la formation

3) Laisse ouverts les micros (pas pour être interpellé par le conjoint ou la conjointe de ton participant qui cherche ses clés de voitures hein)

 

4)      Test les outils (avec ta mamie si tu veux aussi tester ta patience) 

5)      Familiarise-toi avec la caméra (dans ta salle de bain si tu veux pousser la chansonnette)

Comment éviter les temps morts en début de Classe virtuelle ?

Si tu as déjà animé des classes virtuelles, on est sûr que ça t’est déjà arrivé. 

Tu commences à 8h30, et t’as que 4 participants sur 6 qui sont connectés. Du coup bah, en bon formateur que tu es, tu vas attendre quelques minutes que les autres te rejoignent. Et peut-être que tu vas même les appeler pour t’assurer qu’ils ne rencontrent pas un problème technique. C’est bien.

Mais pour ceux qui sont là depuis 8h30, il se passe quoi ?

C’est pas cool on est d’accord. Alors reste avec moi, je te partage dans cette vidéo mes 2 astuces que tu dois absolument connaitre pour éviter ses fameux temps morts.

Pour éviter les temps morts en début de formation, on te propose une première solution qui est plutôt originale :

 

Mettre une musique d’accueil 

 

Tu préviens tes participants que la musique d’accueil va commencer, et que lorsqu’elle sera terminée, la formation va débuter. Tu vas laisser un temps libre (par exemple pour aller chercher une bouteille d’eau, un café etc) mais la consigne est que dès que la musique est terminée, tout le monde est devant sa cam, et on lance les activités. Le tout est de bien expliquer la consigne avant de mettre ta musique, sinon tes participants vont se demander ce que tu fais !

 

En plus, ça peut même devenir une récompense de challenge ! Celui qui gagne le prochain jeu, atelier, aura le droit de choisir la musique d’accueil de demain ! 

 

Et toi, pendant cette parenthèse musicale, tu as tout le temps d’appeler les participants qui ne sont pas présents, et de les aider à se connecter au besoin ! 

 

Pour notre part, c’est arrivé régulièrement qu’on récupère nos participants en train de danser ! Et on vous l’avoue, débuter sa formation dans ces conditions, c’est quand même génial ! 

 

La 2ème solution, c’est de créer une activité d’attente. Par exemple, tu peux utiliser le site wordwall pour faire un rappel ludique et sympathique en posant des questions sur ce que vous avez vu la veille. C’est assez rigolo, c’est facile d’utilisation autant pour le formateur que pour le participant, et ça change des traditionnels quiz.

Je te résume mes 2 astuces pour éviter les temps gênants en début de formation : mettre une musique d’attente ou créer une petite activité d’attente.

Comment faire bouger ses participants en classe virtuelle ?

Est-ce que tu as déjà fait des activités où les apprenants doivent se déplacer en formation à distance ?

La marche est connue pour améliorer la créativité, ce qui souligne l’importance des discussions en marchant. Nous pouvons nous déplacer pendant les formations en présentiel, mais pouvons nous faire faire la même chose en classe virtuelle ?

 

Dans cette vidéo je te partage 3 pratiques qui permettent de faire bouger tes apprenants en formation virtuelle.

Comme la marche aide à la créativité, favorise l’apprentissage et la réflexion alors faison marcher, bouger , déplacer les apprenants lors de nos formations à distance.: preuve : lorsque vous téléphonez avec votre mobile, vous vous mettez à vous déplacer ou alors à faire des gribouillis. Ces mouvements nous aident à nous concentrer et à réfléchir. 

 

Utilisons ce mécanisme à notre avantage lors de nos activités et lors de nos temps de pauses.

 

Lors d’activité, vous pouvez organiser des ateliers en binôme par téléphone. D’avoir une conversation en marchant. Le sujet de partage du binôme peut être, par exemple, de dire à l’autre quel a été l’élément clé pour lui de ce qui vient d’être fait.

Les pauses sont des moments aussi propice pour faire de l’”exercice”.  faire aller chercher un objet insolite, ramener une tasse de café, aller cueillir une fleur dans son jardin ou sur son balcon. Chacun à son retour montre ce qu’il a ramené. 

 

A la reprise de la pause déjeuner : Vous pouvez aller plus loin, en proposant de danser 2 à 3 min sur une musique entrainantes, rythmés. Effet garanti. Mon conseil, ne pas faire trop durer la séance et encourager vos danseurs. Quelque exercice de Yoga autour de sa chaise peut aussi faire son petit effet 😉

Nous venions de voir les astuces pour faire bouger ces apprenants en formation à distance : 

  • Une activité en binome en Marchant au téléphone, 
  • Une activité de recherche d’objet pendant la pause
  • Une activité de relance après la pause comme danser ou faire quelque pose de yoga.

Comment engager son public dès le début de sa formation ?

Parfois, ça nous est déjà arrivé, on lance la formation, et on se rend compte que pour certains participants, ils ne connaissent même pas le sujet sur lequel on va travailler. C’est un cas extrême, mais je te promets que ça arrive, surtout quand c’est l’employeur qui commandite la formation. 

Du coup, nous formateurs, on va d’entrée de jeu indiquer l’intitulé de notre formation, d’ailleurs pourquoi pas faire une slide avec son titre, comme ça tout le monde vient en tout état de cause.

Oui, mais, c’est pas parce qu’on connaît le sujet que ça nous intéresse !

Je te partage dans cette vidéo mon astuce pour que mes participants se sentent en lien avec le sujet de ma formation.

Je vais te donner une étape qui pour moi est vraiment essentielle dans la formation, et qu’on a souvent tendance à zapper parce qu’on est focus sur le contenu ! Alors avant d’attaquer justement le contenu, on va faire une connexion avec le sujet.

 

Pour faire une connexion, c’est super simple en fait. Il suffit de faire mettre en évidence par tes participants les difficultés qu’ils rencontrent, les interrogations, les doutes, ou encore de déterminer ce qu’ils connaissent du sujet, et de faire mesurer le poids que ça prend dans leur quotidien.

Le fait de mettre ça en évidence va permettre de mettre en lumière l’intérêt de ta formation, quels sont les bénéfices que tes participants vont pouvoir en tirer ? 

 

Tu peux mettre en place un atelier, de type post’it, mindmap, ou tout simplement utiliser la zone de tchat…

 

Et pour ça, tu vas poser une question stratégique. 

 

Par exemple, dans notre formation “Animer une classe virtuelle”, on apprend à sélectionner le ou les outils numériques dont on a besoin, que ce soit pour la classe virtuelle, ou pour du présentiel augmenté. On pose donc la question : Qu’est-ce qu’un bon outil numérique selon vous ? 

 

Comme ça, nos participants sont tout de suite impliqués dans la thématique du jour, et ils sont capables de définir quels bénéfices ils vont en tirer, quel est parmi les outils que Nico et moi proposons, celui ou ceux qui va répondre à ces attentes.

Je te résume mon astuce pour impliquer tes participants dès le début : poser une question stratégique qui va mettre en lumière l’intérêt que eux ont à suivre ta formation.

Une solutions simple pour s’assurer que son participant s’approprie de nouvelles notions

Est ce qu’on t’a déjà dit : écoute Brenda, ta formation elle est bien, t’es sympa et tout, mais franchement, j’sais pas à quoi ça va me servir ! ou “ha oui, c’est bien, mais moi je peux pas faire comme ça au travail” ?

Si c’est le cas, alors écoute bien ce qui suit.  je te présente comment tu peux permettre à tes apprenants de s’approprier les apports que tu as fait en formation, et à la fin de la vidéo, je te partage 2 bonus, le plus du plus.

Alors, on va pas se voiler la face, il est fort possible que dans la formation que tu donne, tout ne soit pas bon à prendre. On forme un groupe d’individualités, partant de ce principe, ils n’ont pas tous les mêmes connaissances, les mêmes besoins, les mêmes envies, du coup logique qu’ils repartent chacun avec leur propre valise de connaissance.

Maintenant que ça c’est dit, imaginons que t’es à la fin de ta formation, le sujet a été traité, y’a plus de question, qu’est-ce qui passe ? trop tôt pour des aurevoirs.

Du coup, on va finir en posant une question, qui peut prendre différentes formes :

comment vous allez utiliser ce que vous venez d’apprendre dans votre quotidien ?
Qu’est ce que vous allez mettre en place demain en arrivant au travail ? 

Citez moi 3 méthodes que vous allez appliquer pour votre prochaine réunion…

Après ce qu’on a vu, qu’est ce qui va changer dans votre façon de voir votre collègue Hervé (pour des formations en com par ex)

etc…

vous voyez le principe

il faut pousser le participant à projeter ce qu’il a appris, une partie, dans son milieu de travail. C’est une activité à part entière, qui doit se faire individuellement, et à laquelle chacun doit répondre, pourquoi pas envisager des temps de prise de parole, comme un échange croisé avec une formulation du type “je m’engage à mettre en place lundi parce que c’est important pour moi, pour mon contexte…”. 

Comme ça, vous êtes quasi sur qu’il appliquera, et qu’il ne l’oubliera pas.

 

Bonus : vous les avez mis en binome, dites leur de se donner un rdv 15 jours après la formation pour faire un bilan de leurs engagements, ils s’engagent envers quelqu’un donc y”a plus de chance qu’ils le fassent

2ème bonus : les prévenir dès le début de la formation qu’ils sont en binomes, les mettre en binome et les challenger tout au long de la formation, ça va créer des liens

On vient de voir que pour permettre à ton participant de s’approprier les notions vues en formation, il faut que tu lui crée l’occasion de se projeter avec ces nouveaux apprentissage dans son quotidien.

3 bonnes pratiques pour se mettre au numérique

Est ce que tu t’es déjà dit “ha ouais, le numérique ça me tente bien, mais franchement ça me fait peur”, ou encore “bah si tout le monde en parle, c’est que ça doit être bien pour eux, mais ça veut pas dire que c’est bien pour moi”.

Si c’est le cas, alors écoute bien ce qui suit.  je te présente 3 bonnes pratiques pour inclure du numérique facilement, sans trop de prendre la tête.

L’ennui avec le numérique, c’est qu’il y a de tout et n’importe quoi, et à tous les prix. Du coup, on peut vite être perdu, et c’est démotivant. Grâce à ces 3 bonnes pratiques, tu vas y voir plus clair, et ça va te permettre de te lancer. 

 

  • pratique 1 : faire un point sur ce qu’il est possible de faire en numérique. N’hésites pas à t’inscrire à des newsletter, à des blogs, demande l’avis de collègues sur ce qu’ils utilisent et qu’est ce qu’ils font avec, demande des exemples, des modèles. Une fois que tu auras le sentiment d’avoir assez de contenu, tu pourras passer à la pratique 2.

  • pratique 2 : fait le point sur les ateliers que tu fais en présentiel, ou sur ceux que tu aimerais faire. Liste bien les objectifs de cet atelier, et comment tu fais pour les atteindre. Par exemple, si à un moment donné de ta formation tu demandes à tes stagiaires de faire un résumé en 3 points clés à retenir de ce qu’ils viennent de voir, ton objectif va être de permettre à ton participant de s’approprier les notions vues, et de les retranscrire sous forme de points clés, court et efficace. 

  • pratique 3 : fais des tests ! sur la grande majorité des plateformes, tu as une version d’essaie, alors ne t’en prive pas !Tu crées des ateliers, et tu fais tester à tes collègues, amis ou famille. Par contre, pour que ce soit efficace, je te conseille de répertorier le nom des plateformes, ce qu’elles proposent, leur prix, et si tu as aimé ou pas.Comme ça tu peux faire ton choix. Une fois que c’est fait, n’utilise qu’une plateforme après l’autre, ça sert à rien de créer 15 activités sur 15 plateformes différentes, tu vas être totalement pommé.

On vient de voir 3 bonnes pratiques pour inclure du numérique dans tes formations, la première faire un point sur ce que le numérique peut t’offrir, la 2 faire le point sur les ateliers que tu fais déjà en présentiel, la 3 essayer et répertorier les sites pour n’en choisir qu’un.

4 étapes pour utiliser le Storytelling en formation, même si t’es nul pour inventer des histoires

Le saviez-vous ?  Un écrit peut interpréter le gout de son auteur, une manière de narration peut dévoiler son sentiment et une introduction saine invente une impression saine. Cela étant, le style est une production de son environnement, en revanche, et avec un peu d’effort tout le monde est capable d’évoluer et s’améliorer en conséquence, ce qui restera difficile n’est que le premier pas.

 

Dans le contexte pédagogique, la mission de formateur n’est pas moins qu’une série du film « mission impossible » dont le rôle principal de Tom CRUISE est joué par le chargé de formation lui-même

 

Que pensez-vous de la structure de mon introduction ? C’est ce qu’on appelle de Storytelling

 

Usage du storytelling en formation à distance

 

 

Expert ou débutant, entant que formateur, et contrairement à des nombreuses pensés, la qualité de votre mission est évaluée aussi par sa structure.  Si vous avez un contenu riche mais une audience non accueillante votre mission va échouer dès son départ, d’où la nécessité de faire appel à des techniques basés sur l’attraction.

 

Le Storytelling, est à forte valeur ajoutée dans ce sens, il s’agit d’une technique née dans le secteur du commerce, appliquée actuellement partout, grâce à sa réputation, dans le but est de maximiser les chances d’atteindre nos objectifs quand on est face à une audience quelconque, elle est fondée principalement sur le fait d’introduire une dimension fictive dans le script. La technique est adoptée actuellement par les formateurs partout dans le monde, en classe et même pour en formation en ligne.

 

Les avantages du storytelling en formation à distance

 

Le storytelling a des avantages multiples : permettre de s’identifier au personnage – proposer un temps calme à tes participants, et tout le monde aime les bonnes histoires depuis la nuit des temps ! En plus, on apprend mieux quand on a de l’émotion, on se souvient des émotions qu’on vit, et si le storytelling apporte des émotions, alors on est bon. Pas obligé d’inventer, tu peux utiliser l’histoire d’un de tes anciens participants si c’est pertinent.

Les 4 étapes phares du storytelling en formation à distance

 

Hormis votre situation, voilà les 4 étapes phares pour utiliser le storytelling en formation.

Étape 1 : on place le décor, on va dire où, quand ça se passe, et on dresse un portrait du personnage principal.

Étape 2 : le perso principal va rencontrer une problématique, là il faut que ça ressemble le plus possible à une problématique que peut rencontrer ton participant.

Étape 3 : on va trouver des solutions au problème qu’il a rencontré, par ex avec la méthode “…”, ou grâce à “sujet de formation” il a trouvé une solution.

Étape 4 : le happy end : comment il a exploité la solution, qu’est-ce que ça a eu comme bénéfice chez lui ? dans son business ? dans son travail ?

 

On a vu comment construire une histoire captivante et engageante pour tes participants, rien n’est facile que ça ; grâce à cette technique, vos apprentis, étudiants et participants seront aidés par ce raccourci à tirer plus d’avantage de la formation et de l’environnement d’apprentissage créé par l’application du storytelling.  

Si tu veux encore plus de bonnes astuces pour tes formations, je t’invite à suivre le lien pour récupérer ton Guide des 17 pratiques pour améliorer ta formation. 

5 astuces pour booster la motivation des apprenants

Vous vous sentez au top pour délivrer votre formation. Vous êtes au et confiant, bien dans votre élément sauf que vos apprenants refusent de vous suivre. Certains plombent l’ambiance et vous avez du mal à engager tous les participants dans votre formation. Pas de panique, rien n’est perdu. Dans cet article, bouge ta formation vous livre les cinq astuces pour booster la motivation des apprenants pour réussir ses formations. Maximiser l’engagement des participants est une des clés de la réussite d’une formation.

La première astuce consiste à favoriser l’état de « flow » pour l’apprenant. Il s’agit de faire en sorte que l’apprenant se sente absorber par sa tâche. L’apprenant devrait être imprégné par des exercices pour qu’il oublie le temps qui passe. Pour ce faire, le formateur devrait proposer des exercices dont la complexité croit graduellement, du moins au plus . Cette astuce permet d’instaurer un esprit de défit à l’apprenant. Par conséquent, l’apprenant accumule des connaissances en se défiant lui-même.

Maintenant que l’apprenant est embarqué, il est important d’ajouter une touche émotive à la formation. Et pour y apporter du fun, il n’y a rien de mieux que de raconter une histoire. Ce qui nous amène à la deuxième astuce qui consiste à créer des émotions lors de vos présentations en racontant des histoires. Saviez-vous que raconter une histoire est l’une des activités brise-glace les plus utilisées ? Cela instaure un climat de confiance et permet un accueil favorable de la part des apprenants. Maitriser les techniques de narration est un atout de plus au formateur. Les histoires apportent une touche émotionnelle forte.

La troisième astuce nous demande à donner du sens aux activités et à vos séquences de formation. Une formation fun où l’engagement des apprenants est maximisé est une formation bien structurée. L’objectif des activités doit être clair pour tout le monde. Cela évite toute confusion, permettant ainsi de booster la motivation. Les apprenants deviennent plus ouverts et l’apprentissage se fait plus facilement.

Donner une autonomie aux apprenants est notre avant dernière astuce. Cela consiste à laisser aux apprenants de faire des essais pour qu’ils en tirent des leçons par eux-mêmes. Nous savons tous qu’accomplir quelque chose par soi-même est toujours gratifiant. Cette règle s’applique aussi à une formation. Le formateur doit prendre le rôle de guide de temps à temps. Il doit accorder du temps et de l’espace aux apprenants pour qu’ils apprennent de manière autonome. 

Nous arrivons à la dernière et cinquième astuce qui est le jeu et plus particulièrement les jeux cadre Thiagi – jeu en support pédagogique. Favorisant le jeu de rôle, ce jeu cadre permet d’inciter au dépassement de soi tout en déclenchant le mécanisme du travail en équipe auto-apprenante ou apprendre ensemble

 

Comment se présenter en formation, une nouvelle méthode

Fini la présentation croisée ou le tour de table ! Découvrez une nouvelle façon originale et dynamique de faire les présentations en formation.

Des présentations traditionnelles…

En général, les formateurs utilisent deux méthodes bien connues pour briser la glace entre les participants à une formation. On retrouve :

  • le tour de table ; chacun se présente, personnellement et à tour de rôle. Le risque majeur est ici de stresser les personnes, qui se focalisent plus sur ce qu’elles vont dire que sur ce que les autres disent. De plus, le temps d’attente est généralement long, et l’ambiance très formelle et intimidante. Ce n’est pas ce que l’on recherche !
  • la présentation croisée ; chaque stagiaire présente son voisin, qui présente ensuite le sien, etc. C’est une méthode efficace pour introduire deux personnes, mais qui perd ses avantages dans un groupe de plusieurs.

Pour dynamiser les présentations, BougeTaFormation vous propose une nouvelle façon de faire connaissance.

… à notre alternative, en présentiel comme en distanciel

Cette méthode s’appelle le Kicéki et est extraite du livre Le grand livre des jeux de formation de Nicolas Jousse aux éditions Eyrolles.

Comment ça marche, et quels avantages ?

Le principe est simple : il faut reconnaître chaque participant au travers de cinq traits qui le caractérisent. Cela peut aller des choses les plus simples ( des particularités physiques visibles ) à certaines plus compliquées ( des détails cachés, comme des tatouages ou bien un diplôme ou un hobby ). On peut également jouer en insérant des touches d’humour comme “je ne suis pas la personne que vous pensez”.

Les bénéfices de faire connaissance avec le Kicéki sont une présentation vivante, dynamique et ludique voire décalée, aux nombreuses interactions mais aussi au temps maîtrisé ; comptez entre 15 et 30 minutes.

Le Kicéki, en présentiel

Pour cette activité, il vous faudra prévoir en amont du matériel et l’insertion des consignes dans votre support ou votre paperboard.

Le matériel à fournir aux participants, s’ils n’en ont pas déjà :

  • des feuilles ou morceaux de papier,
  • des stylos,
  • un contenant ( boîte, chapeau, bonnet… ).

Le déroulement de l’activité :

  1. Distribuer le matériel,
  2. Présenter la consigne à l’oral et à l’écrit, sur un support visuel,
  3. Laisser le temps pour que chacun note ses 5 traits caractéristiques,
  4. Récolter les feuilles pliées en 4 et les mélanger dans le contenant,
  5. Faire piocher au hasard un papier par stagiaire, qui pourra se déplacer dans la salle pour poser des questions,
  6. Mettre en commun les informations, chaque personne présente celle dont elle vient de faire la connaissance et le groupe peut poser de nouvelles questions.

Pour les formations qui ne peuvent pas se tenir en présentiel, BougeTaFormation a adapté le Kicéki permettant ainsi de se découvrir à écrans interposés.

Le Kicéki, en distanciel

Le principe reste le même : se découvrir à travers cinq traits de personnalité, physiques, ou encore d’humour. Ce qui va changer, ce sont les supports. Nous allons favoriser des interfaces comme Jamboard et ainsi introduire des outils numériques simples et accessibles.

Les avantages de l’activité sont donc les mêmes, avec en plus le digital qui peut devenir une compétence chez les participants. De la même manière, le timing à prévoir sera donc un petit peu plus long ; 20 à 35 minutes selon la taille du groupe.

Le matériel à prévoir :

  • un jamboard numéroté.

Le déroulement de l’activité :

  1. Prendre un temps pour expliquer le fonctionnement de Jamboard.
  2. Présenter la consigne.
  3. Envoyer un message privé à chaque stagiaire avec son numéro de page attitré, sur laquelle il notera ses cinq traits.
  4. Demander à chaque participant de choisir un nombre entre 1 et X, X étant le nombre total du groupe.
  5. Restituer les informations, chacun pouvant poser des questions à la personne démasquée.

Comment présenter le Kicéki à distance ?

Tout d’abord, il faudra que les participants à la formation en distanciel s’approprient l’outil Jamboard pour être autonomes. Pour cela, faire une première page vierge est intéressant : le formateur peut demander à chacun d’utiliser le menu de gauche et de venir écrire du texte, coller un post-it, insérer une image, etc.

Ensuite, il faut présenter la consigne à l’oral mais aussi à l’écrit, de manière visuelle, dans le Jamboard. Le formateur pourra alors envoyer à chaque participant, en message privé, son numéro de page pour écrire ses cinq traits anonymement.

Enfin, vient le moment de tirer au sort. Grâce à une nouvelle page et une liste de numéros, chaque stagiaire est relié à une personne à démasquer.

Pour voir notre exemple de Jamboard de BougeTaFormation, retrouvez la vidéo complète ici !

Et voilà une manière ludique et dynamique de se présenter en formation ! Retrouvez tous nos conseils sur notre site et suivez-nous sur notre chaîne YouTube. À la recherche de formations pour formateur, coach ou animateur de formations ? N’hésitez pas à nous contacter !

3 astuces à connaitre avant d’attaquer son Powerpoint !

T’as peut-être préparé un support visuel pour ta classe virtuelle, du type Powerpoint ou autres. Top ! c’est vrai que ça aide. Mais est-ce que t’es sûr que ton support va aussi aider tes participants ? Est-ce que tu sais ce qu’un mauvais support a comme effet sur ton auditoire ? 

1 ça va perturber visuellement ton participant (il peut se sentir AGRESSÉ tu vois, si il y a des mots en gros en gras en rouge !), 

2 il va lire ce que tu as écrit plutôt que d’écouter ce que tu dis, il va se rapprocher de l’écran tout en fronçant les sourcils en essayant de lire les chiffres de ton diagramme. 

3 ça va le barber, au bout d’un moment, ça va lui paraître interminable ! Il y’a plein d’autres répercussions, mais j’suis sûre que t’as compris le principe. 

Alors si toi aussi tu veux des présentations qui dépotent, qui mettent en valeur ton discours plutôt que ton support, regarde cette vidéo, je te partage mes 3 astuces avant d’attaquer ton support !

Et reste bien jusqu’à la fin, j’ai un super bonus pour toi !

Je te partage dans cette vidéo 3 astuces que tu dois absolument connaitre avant d’attaquer ton powerpoint.

Alors ta présentation, qu’elle soit faite sur ppt, genially, canva, ou tout autre support, c’est un point de repère dans ta formation, ça ne doit pas être l’élément essentiel, mais bien un support.

 

1 ère astuce : Epurer tes slides

 

Eh oui, est-ce que tu sais qu’une image vaut mille mots ? C’est pas moi qui le dit hein, y’a eu des études de faites sur le sujet. Du coup, pour tes slides, privilégie toujours une image percutante, qui te permettra de délivrer ton discours, à la place de ton discours écrit en tout petit parce que tu as plein de choses à dire. Pour ces images, fait bien attention à ce qu’elles soient libre de droit. Tu peux soit aller sur des sites dédiés, soit faire un tri dans ta sélection d’image google en allant sur outils, droits de l’image.

 

2ème astuce : des codes couleurs

 

Nous, on aime bien aussi utiliser des codes couleurs. Les modules en rose, les séquences en bleu, et les séances en jaune. Ça permet à tout le monde de s’y retrouver. Par contre faut faire attention à l’association de couleurs, ça peut être maladroit, et parfois ça ne se marie pas bien, ou alors quand on utilise des couleurs du type le titre en rouge, le sous titre en vert, ça fait un peu trop scolaire.Donc des codes couleurs oui, des couleurs pas complémentaires non ! 

et du coup tu l’auras compris, notre 3ème astuce : de l’harmonie 

 

Pour être sûr de toi, n’hésite pas à utiliser un cercle chromatique. Il existe même des applications qui te donnent les codes couleurs qui vont ensemble. C’est ce que nous avons fait avec notre logo ! Nous avons choisi les couleurs de notre logo, puis défini la charte graphique qui convenait pour les textes. Si tu as un logo, on te conseille de faire la même chose, l’harmonie est essentielle.

Je te résume mes 3 astuces à avoir en tête avant de commencer le travail sur ta présentation :

 

1 ère astuce : épurer ses slides 

2ème astuce : des codes couleurs

3ème astuce : de l’harmonie 

 

Et le bonus, le voilà, je t’en parlais en début de vidéo : si tu as créé un jeu, n’hésites pas à mettre sur ta présentation les règles, comme ça tes participants pourront s’y référer. Combien de fois ça t’est arrivé de devoir les répéter ? Si t’es comme moi, beaucoup trop ! Alors gagne du temps ! 

3 astuces pour ne plus être le gendarme de tes formations

Pour réussir dans n’importe quel domaine ou accomplir une fonction comme il se doit, il faut être avant tout bien formé. Les formations et les formateurs ce n’est pas ce qui manque mais arrivent-ils tous à intéresser leur public et à capter son attention?

 

Arriver à être vraiment le maître à bord de sa formation,  jouir de l’attention des participants et éviter toute distraction lors des présentations n’est guère facile, toutefois si vous suivez nos trois astuces, vos cours seront une partie de plaisir et vos participants attendront la prochaine séance avec impatience.

Valorisation du sujet de la formation

Pour qu’un apprenant ou le participant à votre formation vous suive attentivement sans ennui ni lassitude, il faut d’emblée mettre en valeur votre sujet. Il est important d’expliquer l’intérêt de la formation, ses bénéfices et les objectifs à atteindre à court et à long terme.

Avoir un objectif et vouloir le réaliser est la meilleure des motivations. Comment peut-on suivre un chemin si on ne sait pas où il mène?

 

Pour plus d’efficacité, mettez en place un atelier pour écouter et mettre en évidence les difficultés que peuvent rencontrer vos participants face au sujet. Une fois que les problèmes sont cernés, procédez à leur atténuation afin que le chemin s’éclaircisse devant les apprenants et qu’ils aient du plaisir à vous suivre.Des méthodes sont mises en place comme le brainstorming (remue méninge) ou le mind mapping.

Implication des participants dans la formation

Se mettre face à un public et commencer à émettre des informations n’est d’aucun bénéfice pour vos auditeurs. Ils ne tiendront pas plus de cinq minutes avant que les  signes de l’ennui et de l’engouement ne commencent à apparaître sur leur visages. Pour éviter cette situation désagréable, une solution: faites travailler vos participants lors de la formation.

 

On dit que ce qu’on apprend ou ce qu’on  découvre par nous même s’incruste efficacement dans notre cerveau. Il est indispensable que vos participants soient impliqués dans le travail. Leur faire vivre l’expérience et les mettre en action d’une façon permanente leur permet de créer un lien avec le sujet et leur intérêt s’accroît de plus en plus. Pour cela vous pouvez les orienter vers des liens ou des sites qui pourront les aider dans leurs recherches. Ou créer vous même un livret qui leur servira de référence pour leur formation.

 

Création de sous groupes

L’être humain est sociable de nature, personne ne peut vivre sans l’autre. Pour cela le travail de groupe, sauf dans des cas rares, n’est que avantageux. Le travail en groupe demande de l’investissement. Les idées des participants se complètent et chacun essaie de donner le meilleur de soi pour émerger au sein du groupe et montrer son efficacité et son ingéniosité. 

 

Cependant le sous-groupe ne doit pas dépasser 4 personnes car au-delà, le groupe perd son harmonie. Certaines personnes, comme les timides, ne sauront plus vers qui se retourner et se noient dans la multitude des voix, par conséquent ils ne trouveront jamais leur place au sein du groupe et ils rateront leur formation. 

La méthode des sous-groupes est une force non négligeable, elle nous évite de tomber dans les méthodes archaïques d’émetteur/récepteur. Elle nous mène vers l’échange, le débat et vers une assimilation efficace.

 Vous l’avez compris, c’est simple!

 

Voilà pour récapituler, la réussite de votre formation nécessite l’attention de votre audience pour cela trois astuces sont entre vos mains. D’abord, bien introduire le sujet et convaincre les participants de son intérêt et de ses avantages pour la réalisation de leur objectif. Ensuite créer des expériences d’apprentissage en impliquant les participants. Enfin, travailler en sous-groupes pour un rendement meilleur..

 

2 méthodes simples pour amener du contenu en formation

Est ce que ça t’arrive, en rentrant chez toi après une journée de travail, d’avoir le sentiment que t’as donné toute ton énergie en formation, et c’est bizarre parce qu’en même temps, t’as pas le retour que t’espérais ?

Si c’est le cas, alors lit bien ce qui suit.  je te présente 2 méthodes simples pour amener du contenu en formation sans t’épuiser dans un one man show de dingue !

  • méthode 1 : donner un texte, diviser ta salle en groupe de 4 personnes, demander à chaque groupe de s’approprier une partie du contenu et de faire un cours de qu’il a retenu au reste de la salle

  • faire une vidéo et à la fin, idem groupes, puis demander de préparer 3 questions à poser au reste. Le groupe qui gagne aura un privilège (choix de la musique de travail par exemple).

On vient de voir 2 méthodes pour amener du contenu sans faire un onemanshow de dingue, méthode 1 : tu donnes une partie de txt à lire à un groupe qui doit le présenter au reste, et méthode 2 : tu montres une vidéo, et tu demandes aux sous groupes de poser des questions aux autres.